Actus.ECOcide_44
Il n'en revient pas. Stéphane Gatignon, maire de Sevran, a découvert qu'une enquête publique concernant la délivrance de permis de recherches d’hydrocarbures, dont certains concernent sa commune, avait été lancée en janvier dernier. Il affirme ne pas en avoir été informé et dénonce la méthode des autorités.
> Par Stéphane Gatignon Maire de Sevran
Le 19 janvier dernier, dans la plus grande discrétion, a été lancée une enquête publique concernant la délivrance de permis exclusifs de recherches d’hydrocarbures ayant recours au gaz de schiste. Elle concerne 12 permis en France (dix en Île-de-France, un en Lorraine et un en Aquitaine). Une affaire qui relève du scandale. Scandale, d’abord, parce que cette découverte d'une consultation importante pour l'avenir de milliers de familles et de territoires de notre pays s'est faite au hasard de lectures sur internet. Scandale, parce qu'en enquêtant sur le site du ministère du Développement durable, cher à Nathalie Kosciusko-Morizet, on découvre des documents relatifs à l'attribution de 14 permis exclusifs de recherche d'hydrocarbure – dont 12 en Île-de-France. Scandale encore, lorsqu’on comprend que la commune de Sevran, comme 60 autres, est concernée par un permis (dit "permis de Chevry") seulement après avoir réussi à déchiffrer un document qui, plutôt que d’offrir une cartographie claire, indique seulement des coordonnées de géolocalisation.
Des protestations à Barjac contre l'exploitation du gaz de schiste, le 23/10/2011.
Photo MANIF BARJAC (AVENTURIER PATRICK/SIPA)
Étonnement, à découvrir aussi un projet d’arrêté, non daté, qui attribue le permis de recherche à la Société Poros, société au capital fluctuant (aujourd'hui 1,2 million d'euros), au chiffre d'affaires annuel de 350.000 euros avec un unique salarié. Curieuse société dont le champ d'actions pour la recherche pétrolière se situe également en Tunisie avec des permis de recherche attribués en 2007, avant la révolution. Scandale que de tels enjeux financiers et environnementaux se gèrent en catimini, par une consultation virtuelle dont personne n'est informé, ni élus, ni population. Soixante communes concernées et pas un mot, pas une enquête publique, pas un avis de consultation ! Une fois tout cela dénoncé par voie de presse, le ministère du Développement durable vient de faire marche arrière. In extremis, il prolonge d'un mois la pseudo-consultation en question et propose désormais au public des cartes relatives à chaque permis ainsi que la possibilité d’adresser "ses observations" à l’adresse mail suivante, dgec-beph@developpement-durable.gouv.fr.
Des décisions prises sans consultation
Première victoire sur un procédé totalement anti-démocratique ! Aujourd’hui, de nombreux maires ont décidé de faire part de leurs inquiétudes face à l’exploitation pétrolière en Île-de-France, mais aussi de leur refus de procédés d'un autre âge où les décisions se prennent dans le dos des populations et de leurs élus. On sait que le pétrole d'Île-de-France est essentiellement extrait de terrains schisteux qui nécessitent, pour son extraction, des techniques de fracturation des roches qui sont particulièrement dangereuses pour l'environnement. Depuis 2011, suite à une mobilisation massive, l'exploitation par "fracturation hydraulique" est interdite. Restent des procédés mal connus comme la fracturation à l'azote, par exemple. Or les informations consenties par le ministère ne nous renseignent aucunement sur la nature des procédés qui seront utilisés, ni sur leurs conséquences environnementales et humaines. En tout état de cause, l'extraction impliquerait nécessairement l'utilisation de divers produits chimiques susceptibles de polluer l’air et nos nappes phréatiques, bien au-delà des périmètres immédiatement concernés par les permis. La recherche de ces huiles de schiste est elle-même source de nuisances multiples (manipulations sismiques, puits de forages, convois de camions, etc.). Peut-on raisonnablement envisager de tels chantiers dans les zones urbaines d'Ile-de-France, comme en Seine-Saint-Denis ? D’autant que notre territoire est marqué par une dissolution de gypse qui rend les terrains instables et par la présence, à Vaujours, de l’ancien Commissariat à l'énergie atomique, où perdurent encore quelques traces de radioactivité… Comment, dans ces conditions, accepter ces permis de recherches pétrolières sans plus de visibilité sur les risques encourus ? Les enjeux financiers du pétrole en France ne sont pas négligeables : le seul bassin parisien a permis, en cinquante ans, l'exploitation de quelque 300 millions de barils.
Des méthodes opaques
Madame Nathalie Kosciusko-Morizet, toute nouvelle porte-parole du candidat Sarkozy, aura tout fait, avant de quitter sa fonction ministérielle, pour que cette affaire soit arrangée en toute discrétion. Se prévalant d'un côté d'un "Grenelle de l'environnement", elle fait, de l’autre, le jeu des lobbies pétroliers. Certes, le code minier n'impose pas de véritable enquête publique, ni aucune forme de réelle publicité. Cependant l'article 6 de la charte constitutionnelle de l'environnement donne le droit aux élus et à la population de participer à l'élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l'environnement. Sur ce point il est nécessaire, pour le futur gouvernement et le futur parlement, de se saisir de cette carence juridique et de réformer le code minier pour le mettre en conformité avec les exigences démocratiques de transparence. Il semble évident aujourd'hui que les autorités doivent renoncer au mythe des énergies fossiles pour se tourner vers le potentiel du renouvelable. Le photovoltaïque, l'éolien, la géothermie sont des solutions porteuses, en termes énergétiques comme économiques. Nos concitoyens sont préoccupés par l'avenir de notre politique énergétique. Mobilisons-nous donc contre ces méthodes d’opacité et répondons à cette consultation en ligne par un "NON" collectif, citoyen et déterminé. (Mis à jour 14-02-2012 16:31- Edité par Sébastien Billard )
Stéphane Gatignon est un homme politique français, né le 25 août 1969 à Argenteuil. Maire de Sevran (depuis mars 2001) et conseiller général (depuis mars 2004) du canton correspondant en Seine-Saint-Denis. Communiste, il succéda à Jacques Oudot (droite) à la tête d'une liste de rassemblement de la gauche le 18 mars 2001. Il est réélu maire en mars 2008 avec 59,01 % des voix.
Une enquête publique concernant la délivrance de permis a été lancée le 19 janvier sur le site du ministère du Développement durable. Une dizaine de sites sont concernés en Ile-de-France.
ENVIRONNEMENT – Suspendue il y a un an sous le feu de la polémique, l'exploration du gaz de schiste revient par la petite porte. Le maire Europe Ecologie Les Verts (EELV) de Sevran, Stéphane Gatignon, a relevé mardi le lancement, le 19 janvier dernier et "dans la plus grande discrétion", d'une "enquête publique concernant la délivrance de permis exclusifs de recherches d'hydrocarbures ayant recours au gaz de schiste". Les documents ont été mis en ligne sur le site du ministère de l'Ecologie, "pour une durée de trente jours", soit jusqu'à la fin de la semaine. Selon le ministère, "cette mise à disposition du public se rajoute au processus existant auparavant". Quatorze dossiers arrivés "au terme de leur instruction" sont ainsi présentés au public. Ils concernent notamment dix autorisations pour des explorations en Ile-de-France, dont les permis de Champfolie, de Nangis et de Coulommiers, qui couvrent un vaste territoire de Seine-et-Marne.
Les maires n'ont pas été consultés
En outre, assure le maire de Sevran, le "permis de Chevry" touche "près de soixante communes des départements de Seine-et-Marne, d'Essonne, du Val-de-Marne et de Seine-Saint-Denis". "Bien entendu, précise l'élu, ni moi-même, ni aucun de mes collègues, maires de communes concernées, n'avons été préalablement consultés, pas plus que les populations." Pour l'élu, l'exploitation d'hydrocarbures, outre les nuisances sonores, implique une pollution possible des nappes phréatiques des territoires concernés, des glissements de terrain en milieu urbain ou des "remontées bactériologiques". En avril 2011, le gouvernement avait décidé de geler l'exploration du gaz de schiste par "fracturation hydraulique", suspectée de nuire aux sous-sols, et notamment aux nappes phréatiques.
l'émission du samedi 25 février 2012
Seine et Marne,...eldorado pétrolier et décharge de l'Île de France ?
Toréador se prépare à Rozoy-Bellevalle
Publié le jeudi 23 février 2012 à 11H00
A Rozoy-Bellevalle (*), la société Toréador détentrice du permis dit de Château-Thierry se prépare à implanter sa première plate-forme pétrolière malgré l'opposition farouche du collectif Carmen. Christine Lecque, habitante du hameau de Gillauche a témoigné lors de la réunion publique de Charly-sur-Marne, des démarches réalisées par l'entreprise. « La menace s'est précisée, confiait-elle. En décembre et janvier, Toréador a recherché des logements. Ils se sont aussi renseignés pour acheter un bois de 45 hectares à côté du terrain qu'ils louent déjà. » Les 24 et 25 janvier, le directeur de la communication et des relations publiques de la société Hess (associée à Toréador) accompagné d'une géologue sont venus recenser les puits et points d'eau du secteur sur le domaine public et privé. Ils ont fait le constat de la proximité du ru du champ de Faye de leur terrain d'action.
« Nous vivons avec une épée Damoclès sur la tête, cette plate-forme va bouleverser notre cadre de vie, notre façon de vivre ! Mais nous ne sommes pas résignés », annonçait l'habitante prête à se battre encore et toujours.
(*) Rozoy-Bellevalle est une commune française, située dans le département de l'Aisne et la région Picardie.
Posted by Greg Ball on Tuesday, January 24th, 2012 - Karen DeWitt, ALBANY
JOSH IN NY-DC
Actor Debra Winger and Gasland filmmaker Josh Fox were among hundreds of anti-fracking.
Hundreds of protesters, many holding signs directed against Governor Cuomo, came to the Capitol to chant, march and hear speeches from leaders of the anti-fracking movement. They implored the governor to drop his administration’s on- going approval process for hydrofracking. The rally included celebrities committed to the cause, like actor Debra Winger, who has a house in Sullivan County. Winger says she no longer believes the gas companies claim that fracking is safe, and says it’s too toxic and potentially polluting to be allowed in New York.fracking protesters who descended upon the State Capitol Monday, in one of the largest demonstrations against the natural gas drilling process so far. From Albany, Karen DeWitt reports: “Getting to it is filthy,” Winger said.
Winger is an executive producer of the anti-fracking film Gasland, and it’s director Josh Fox also spoke to the crowd. Fox says the state needs to continue what he calls the first moratorium on fracking in the world. “We need to keep this going,” Fox said. Many state lawmakers also spoke against fracking. Most were Democrats, but one, Senator Greg Ball, is a conservative Republican. Ball, from the Hudson Valley, says he initially was open to fracking, but became increasingly concerned the more that he heard about potential harm it could cause. He urged the demonstrators to help him convince his Republican Senate colleagues to oppose fracking. “We’re going to have Republican Senators five years from now, they’re going to wish to hell they hadn’t laid out that red carpet,” Ball said. "To this industry that will not hold itself accountable."
NEW YORK D.C. - Josh FOX, réalisateur de GASLAND et l’actrice Debra Winger étaient parmi des centaines d’opposants anti-fracking. Les centaines de protestataires sont venus au Capitole pour chanter, marcher et entendre les discours des leaders du mouvement, en direction du Gouverneur Cuomo. Ils l’ont imploré de laisser tomber son processus d'approbation de l’hydrofracking. Le rassemblement comptait des célébrités investies dans la cause, comme l’actrice Debra Winger, qui a une maison dans le comté de Sullivan. Elle a dit qu'elle ne croit plus dans les déclarations des compagnies pétrolières disant que le « fracking » est sûr, mais au contraire toxique et potentiellement trop polluant pour être autorisé. Les protestataires de New York sont descendus vers le Capitole, dans une des plus grandes démonstrations contre le procédé de forage de gaz jusqu'ici. D'Albany, Karen DeWitt : « Le procédé est dégoûtant » a rapporté Winger. Josh FOX, producteur exécutif du film anti-fracking « GASLAND » s’est également adressé à la foule. Josh Fox a indiqué que l'état de NY D.C. doit continuer à ce qu'il appelle « le premier moratoire sur fracking dans le monde ». Beaucoup de législateurs d'état ont également parlé contre le fracking.
02-24-2012 - Frack Action 
Following New York State Supreme Court Judge Phillip Rumsey’s landmark decision in Dryden, NY that re-affirmed local municipalities’ right to prohibit natural gas extraction, Albany Common Councilman Dominick Calsolaro announced the re-introduction of the Albany fracking ban bill at a press conference on Feb. 24. The bill passed last year but was vetoed by Mayor Gerald D. Jennings. Calsolaro applauded the court decision and called for local municipalities’ rights to remain intact.
Suite à la décision importante de Phillip Rumsey, Juge à la Cour Suprême d'État de New York dans Dryden, NY D.C. qui a réaffirmé que les municipalités peuvent interdire l'extraction de gaz naturel, le conseiller municipal Dominick Calsolaro d'Albany a annoncé la réintroduction de l'interdictiion de la facturation hydraulique en Albany lors d' une conférence de presse le 24 février. La décision passée l'année dernière avait reçu un veto par le maire Gerald D. Jennings. Calsolaro a applaudi la décision du Tribunal et a réclamé des droites locales que les droitsdes municipalités soient préservés.
TAR SANDS PETITION
Pour que les schistes bitumineux soient classés carburants hautement polluants.
https://secure3.convio.net/lcv/site/Advocacy?cmd=display&page=UserAction&id=805Everything you know about shale gas is wrong
February 23rd, 2012 6:05pm Posted In: Natural Gas, News By Country, Romania
Central Production Unit in the Black Sea (Source: Petrom)
A joint venture between ExxonMobil and OMV subsidiary Petrom has made a massive discovery of gas in Romanian waters, OMV Chief Executive Gerhard Roiss said. According to Mr. Roiss, the find may be the largest gas find OMV has ever made. The gas find, discovered by the Domino-1 well in the Neptun block, approximately 170 kilometres offshore from Romania, is believed to contain reserves of up to three trillion cubic feet of gas."The exploration well encountered 70.7 meters of net gas pay, resulting in a preliminary estimate for the accumulation ranging from 1.5 to 3 trillion cubic feet (42 to 84 billion cubic metres)," a statement from OMV said yesterday.The Domino-1 well, Romania's first deep water well, is currently targeting a depth of 930 metres depth on the Neptun block and began operations at the end of 2011. The total depth of the well is expected to exceed 3,000 metres depth. These drilling operation are now being finalised with 3D seismic acquisition expected during 2012, ExxonMobil and OMV said.Head of exploration and production at OMV Jaap Huijskes said that it was still to early to determine whether the find would be commercially viable or not. He said the companies would need to spend "multiple billion dollars" to develop the well.Seismic and appraisal "will take some time," he said. "The Black Sea is not off the coast of Aberdeen, it takes some time to get rigs into the Black Sea and it takes time to get seismic vessels into the Black Sea."First production, if the well is successful, would not be ready until the end of the decade, the statement emphasised. OMV and ExxonMobil hold an equal stake in the Domino-1 well at 50 per cent each. ExxonMobil is the operator of the well.
Une joint-venture [Il s'agit d'une entreprise commune ou coentreprise ("joint-venture" en anglais) créée par deux entreprises ou plus et détenue à part égale par ces dernières] entre ExxonMobil et OMV Petrom Subsidiary ont fait une découverte massive du gaz dans les eaux roumaines, a déclaré Gerhard Roiss, un des cadres d'OMV. Selon lui, la découverte pourrait être la plus grande qu’OMV ait jamais fait. La découverte se situe dans le puits Domino-1 dans le carreau de Neptun, approximativement à 170 kilomètres en mer au large de la Roumanie, et est censée contenir des réservoirs jusqu'à trois pieds cubes trillion de gaz." ; L'exploration a bien rencontré du gaz à 70.7 mètres avec pour résultat une première évaluation s'étendant de 1.5 à 3 pieds cubes trillion (42 à 84 milliards de mètres cubes). Un rapport d'OMV a indiqué hier que le Domino-1 off-shore vise une profondeur de 930 mètres de profondeur sur le carreau de Neptun et a commencé des opérations fin 2011. On s'attend à ce que toute la profondeur du puits dépasse 3.000 mètres de profondeur. Les opération de forage sont maintenant menés à bonne fin avec l'acquisition 3D séismique prévue en 2012, ont indiqué ExxonMobil et OMV. Le chef de l'exploration et de la production d’OMV - Jaap Huijskes - a indiqué qu'elle était trop tôt pour déterminer si la découverte était commercialement viable ou pas. Il a dit que les compagnies devraient dépenser des milliards de dollars pour développer le puits. La sismique-évaluation prendra un certain temps "La Mer Noire n'est pas la côte d'Aberdeen, cela prend un certain temps d'installer des installations dans la Mer Noire et cela prend du temps d’y faire entrer les navires séismiques" La première production, si le puits est réussi, n’aura pas lieu avant la fin de la décennie. ExxonMobil est l'opérateur du puits. (traduction danièle favari)
ExxonMobil failed for the second time, to get a drilling permit for the small town of Nordwalde in Northrhine Westphalia in Germany. The state of Northrhine Westphalia had issued a moratorium for Fracking in March 2011. Currently they are working on a study which should show how and where drilling may be allowed. ExxonMobile tried to circumenvent the moratorium, by saying, they will only do a test drill without fracking, but they would not promise, that they will never frack later.
There is Coal Bed Methane in Nordwalde. Nearly half of Northrine Westphalia is divided between 11 companies - ExxonMobile, Wintershall, British Gas and others - for CBM and shaled gas drilling.
The moratorium may end in September 2012, after the study is finished. Together we will stop fracking. Everywhere. (via Joern Krueger)
ExxonMobil a échoué pour la deuxième fois sur un forage dans la petite ville de Nordwalde dans le canton de Northrhine, Westphalie en Allemagne. Le canton de Northrhine, Westphalie avait publié un moratoire contre la fracturation hydraulique en mars 2011. Actuellement ils travaillent à une étude qui devrait montrer comment et où l’on peut permettre le forage. ExxonMobile a essayé de circonvenir au moratoire, en disant qu’il fera seulement un foret d'essai sans fracturation hydraulique, mais ils ne promettent pas, cependant, de ne pas en faire plus tard. Il y a du méthane dans les couches de charbon du Nordwalde. Presque la moitié de Northrine Westphalie est divisée entre 11 compagnies [ExxonMobile, Wintershall, British Gas et d'autres] Le moratoire doit finir en septembre 2012. Ensemble, nous l’empêcherons partout ! (via Joern Krueger)
"Finishing" a gas well in Dimock, PA
In Germany, solar will be as cheap as conventional electricity by 2013
http://grist.org/list/in-germany-solar-will-be-as-cheap-as-conventional-electricity-by-2013/#.T0YnTiqtUgg.twitter
Cela fait plus de 48h que les militants de Greenpeace occupent la plateforme de @Shell-Oil .... http://www.youtube.com/watch?v=PzcBhO2G_zw&feature=youtu.be . Plus de 100 000 mails ont déjà été envoyés aux responsables de Shell pour leur demander de cesser les forages Arctique ! #SaveTheArctic http://www.greenpeace.fr/arctique-en-danger/ © http://www.nongazdeschisteinfos.com
e.mail : nongazdeschisteinfos@gmail.com
twitter : https://www.twitter.com/NonGDSinfos
Traduction tous droits reservés : danièle favari (veille juridique des GDS)