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Shale Gas Explorer Caudrilla to Start Fracking in UK : Caudrilla va débuter la fracturation hydraulique en Angleterre.
Cuadrilla Resources to start fracking in the UK. Image: Reuters.
The UK Shale gas explorer Cuadrilla Resources is expected to start fracking soon and may resume gas production by 2014, it has been reported. The government suspended drilling activities of the company following two minor earthquakes of magnitudes 2.3 and 1.5 near Blackpool in northwest England in 2011. “By the first quarter of 2013, we will be far enough along in the exploration programme to say this makes sense to go ahead and apply for a full field development permit. Production could be under way as early as 2014,” said Mark Miller, Chief Executive Officer of Cuadrilla in an interview to Bloomberg.According to Cuadrilla, it has found more natural gas in the local shale rock than in Iraq. The company plans to start hydraulic fracturing in three wells by the end of 2012, according to the Bloomberg report. It is expected to explore nearly 200 trillion cubic feet of gas in its lowest range. The area which Caudrilla is planning the exploration has shale thickness in the range of 3,000 to 4,000 feet (1,220 metres). The amount of gas production will depend on the nature of the location and the number of wells, according to Miller. “It’s a game changer if we can show that it works,” Miller told Bloomberg.Fracking has become a controversial issue recently because of the water and environmental pollution it causes. The process involves the use of water, sand and chemicals to open fissures in a rock layer to release hydrocarbon deposits. Though the technique is widely used in the US, many European countries have reservations about its adoption and countries such as France and Bulgaria even banned the practice.In the UK, applicants for a fracking licence need to get approvals from multiple agencies such as environmental, local authority, government and safety authority. “It’s very important that nobody gets it wrong in Europe. We have to do this job right and demonstrate that it’s safe, environmentally sound and commercially viable,” Bloomberg quoted Miller as saying.The recommendations of the Department of Energy and Climate Change (DECC) which published its expert report on hydraulic fracking in April include continuous monitoring of the seismic activity during the drilling and injecting of small amounts of water and halting the process when it reaches a certain seismic threshold.“We agree with the Department of Energy and Climate Change recommendation to work at a level below what people can feel. That’s what is really important here, because a lot of this is about perception,” said Miller. May 10, 2012 1:54 PM GMT
Cuadrilla Ressources va commencer la fracturation hydraulique au Royaume-Uni d'ici à 2014. Le gouvernement avait suspendu les activités de forage de la société à la suite de deux tremblements de terre mineurs de magnitude 2.3 et 1,5 près de Blackpool au nord-ouest Angleterre en 2011. "Dès le premier trimestre de 2013, nous serons assez loin dans le programme d'exploration afin d'aller de l'avant et demander un permis de développement intégral. La production pourrait être en cours dès 2014, "a déclaré Mark Miller, chef de la direction de la cuadrilla dans une interview à Bloomberg. Selon Cuadrilla, il a été trouvé plus de gaz naturel dans le schiste qu'en Irak. La compagnie projette de commencer la fracturation hydraulique dans trois puits d'ici la fin de l'année 2012, selon le rapport de Bloomberg. Il est prévu d'explorer près de 200 billions de pieds cubes de gaz dans sa gamme la plus basse. La zone qui a été planifiée par Caudrilla a une épaisseur de schiste de l’ordre de 3.000 à 4.000 pieds (1.220 mètres). La quantité de production de gaz dépend de la nature de l'emplacement et le nombre de puits, selon Miller. "On peut montrer que cela fonctionne», dit Miller. La fractuuration hydraulique est devenue une question controversée récemment à cause de la pollution de l'eau et l'environnement qu'elle provoque. Le processus implique l'utilisation de l'eau, de sable et de produits chimiques pour ouvrir des fissurBien que la technique est largement utilisée aux États-Unis, de nombreux pays européens ont émis des rés erves quant à son adoption et les pays comme la France et la Bulgarie. Au Royaume-Uni, les demandeurs d'une licence doivent obtenir de multiples approbations. Il est très important que personne ne se trompe en Europe. Nous devons faire ce travail adroitement et démontrer que c'est sécuritaire, écologique et commercialement viable ", a dit Miller. Le ministère de l'Énergie et du changement climatique (DECC) qui a publié son rapport d'expert sur la fracturation hydraulique en Avril préconise une surveillance continue de l'activité sismique au cours du forage lors de l'injection de petites quantités d'eau et d'arrêter le processus quand il atteint un certain seuil sismique. "Nous sommes d'accord avec le ministère de l'Énergie sur les changements à apporter pour que les populations se sentent rassurées », a déclaré Miller. © traduction danièle favari
Cela pourrait arriver en France : Couple denied mortgage because of gas drilling
ThePittsburghChannel.Com- updated 5/8/2012 7:15:58 PM ET
Brian and Amy Smith seem to be the first example in western Pennsylvania of a homeowner being denied a mortgage because of gas drilling on a next-door neighbor's property. The drilling goes on day and night at a new Marcellus Shale well in Daisytown, Washington County, and Brian Smith told Channel 4 Action News investigator Jim Parsons that he has no complaints -- except one. "As far as drilling and the noise and the lights in the window? No," he said. "But when it affected the value of my home? Absolutely." The Smiths live across the street from the new gas well. They applied for a new mortgage on their $230,000 home and hobby farm, and Quicken Loans congratulated them on their conditional approval."They said all the paperwork will be done by the end of the week and we'll be able to close," Brian Smith said. "Somewhere in there, they called us and said, 'Your loan got denied.' "In an email, Quicken Loans told the Smiths, "Unfortunately, we are unable to move forward with this loan. It is located across the street from a gas drilling site." Two other national lenders also turned down Brian Smith's application. Quicken Loans emailed the following statement to Channel 4 Action News: "While Quicken Loans makes every effort to help its clients reach their homeownership goals, like every lender, we are ultimately bound by very specific underwriting guidelines. In some cases conditions exist, such as gas wells and other structures in nearby lots, that can significantly degrade a property's value. In these cases, we are unable to extend financing due to the unknown future marketability of the property." Clean Water Action said that in other parts of the country, when shale gas drilling has arrived, mortgages at nearby properties sometimes get denied. This is the first case they've heard in Pennsylvania."The banks aren't stupid," said Myron Arnowitt, director of Clean Water Action in Pennsylvania. "They're going to look at that and be more cautious in terms of what they are willing to mortgage." "If I can't refinance, could somebody get a loan to purchase my house? And that would be my concern. That's definitely a worry," Brian Smith said.Homeowners who are denied by national lenders because of gas drilling could try local banks. First Federal in Washington, Pa., said it does not deny mortgage applications based solely on nearby drilling.
Brian et Amy Smith ne semblent pas être le premier exemple dans l'ouest de la Pennsylvanie à se voir refuser un prêt hypothécaire parce que des travaux de forage de gaz sont entrepris sur la propriété d'un voisin. Le forage se poursuit jour et nuit dans le Marcellus Shale. "En ce qui concerne le forage et le bruit et les lumières, cela a affecté la valeur de ma maison. Ils ont demandé une nouvelle hypothèque sur leur maison 230.000 dollars mais ils nous ont appelé et m'ont dit, 'Votre prêt est refusé." Dans certains cas, les puits de gaz à proximité peuvent considérablement dégrader la valeur d'une propriété. Dans ces cas, nous sommes incapables d’en prolonger le financement en raison de la valeur commerciale future inconnue de la propriété. "Les banques ne sont pas stupides», a déclaré Myron Arnowitt, directeur de la Clean Water Action en Pennsylvanie. "Ils vont regarder cela et être plus prudent en termes de ce qu'ils sont prêts à hypothéquer." "Si je ne peux pas refinancer, quelqu'un pourrait-il obtenir un prêt pour acheter ma maison? C'est certainement une inquiétude," Cependant, la First Federal à Washington, en Pennsylvanie, a déclaré qu'il ne nie pas que les demandes d'hypothèques fondées uniquement sur un forage à proximité soient refusées.
http://www.msnbc.msn.com/id/47344965/ns/local_news-pittsburgh_pa/#.T6wPFFKOtwo
Par Arnaud de La GrangeMis à jour le 11/05/2012 à 09:57 | publié le 10/05/2012 à 17:21
INFOGRAPHIE - Pékin et Manille se disputent le contrôle d'une zone riche en hydrocarbures en mer de Chine, théâtre d'une nouvelle guerre du gaz.
Cela fait trois semaines que la Chine et les Philippines sont engagées dans un dangereux face-à-face maritime, autour du récif de Scarborough. Un endroit que les Chinois préfèrent désigner par le nom de Huangyan Island. Et qui serait riche en gaz naturel. Tout a commencé le 10 avril, quand les Philippins ont entrepris d'arrêter des pêcheurs chinois dans la zone. Pékin a alors envoyé deux bateaux pour les protéger. Depuis, les deux pays maintiennent sur place des navires de guerre ou de surveillance. Manille a envoyé sa plus grosse unité militaire. Tous les jours, le ton monte. Lundi, la vice-ministre des Affaires étrangères Fu Ying a déclaré que la Chine se préparait à «répondre à toute escalade», se disant «peu optimiste» sur l'évolution de la situation. L'ambassade de Chine aux Philippines a mis en garde ses ressortissants avant des manifestations antichinoises prévues ce vendredi à Manille. Celles-ci devraient être organisées par des groupes proches du pouvoir, le président Benigno Aquino s'étant notamment fait élire sur le thème de la restauration de la dignité nationale. Enfin, jeudi, les agences de tourisme chinoises ont suspendu les voyages à destination des Philippines.
Les hauts-fonds de Scarborough se situent à 230 kilomètres (140 milles) à l'ouest de la principale île des Philippines. Soit à l'intérieur de la zone économique exclusive des 200 milles reconnue par l'ONU, d'où la revendication de souveraineté de Manille. La Chine, elle, au nom de «faits historiques», revendique peu ou proue la totalité de la mer de Chine méridionale. Et se trouve ainsi en conflit avec la totalité des riverains, Philippines mais aussi Vietnam, Malaisie, Brunei et Taïwan. L'an dernier, les Philippins avaient déjà accusé des navires chinois de bloquer leurs campagnes d'exploration pétrolière. Mais Pékin a refusé une invitation de Manille à avoir recours à un arbitrage international. Pour faire pièce à la puissance chinoise, les pays de la région se rapprochent des États-Unis. Un besoin qui coïncide avec le «retour de l'Amérique en Asie» proclamé par Barack Obama. Dans cette dernière poussée de fièvre, Washington se garde de gesticulations intempestives. Mais a réaffirmé son engagement à soutenir Manille en cas d'agression extérieure, en vertu d'un accord conclu en 1951. Il y a dix jours, les Philippines ont demandé le soutien des États-Unis pour les aider à se «doter d'une défense qui soit un minimum crédible». L'aide militaire américaine devrait presque tripler en 2012. Cette dernière tension intervient alors que les enjeux, tant économiques que géopolitiques, ne cessent de monter en mer de Chine. Les pays de la région se lancent dans l'exploration en offshore profond, alors que le potentiel de la région en hydrocarbures semble énorme. Un rapport de l'Energy Information Administration de 2008 estimait déjà ses réserves à 213 milliards de barils. Ce qui surpasserait les réserves prouvées de tous les pays de la planète, l'Arabie saoudite et le Venezuela exceptés, selon une étude de BP.
Le 11 mai 2012, c’était l’Assemblée générale : le WWF critique un projet d'exploration pétrolière en RDC (voir ci-dessous) à l'AG de Total.
PARIS - Le WWF a fait campagne lors de l'assemblée générale des actionnaires de Total, vendredi à Paris, contre un projet d'exploration pétrolière auquel participe le groupe en République démocratique du Congo, qui menace selon l'ONG le parc national des Virunga (région des Grands lacs). La présidente du WWF France, Isabelle Autissier, s'est exprimée à deux reprises lors de l'AG, d'abord via une question écrite qui a été lue par le PDG du groupe Christophe de Margerie, puis en prenant la parole en personne durant la séance traditionnelle de questions-réponses avec l'assemblée. Rappelant lors de son intervention que la biodiversité, c'est un peu notre assurance-vie à nous tous sur la planète, elle a exposé les demandes de l'association, qui veut que Total s'engage à ne jamais opérer à l'intérieur d'un parc, ni dans aucun autre site classé au patrimoine mondial de l'Unesco (comme l'est le parc des Virunga), et qu'il suspende ses activités en périphérie, ce qui lui a valu quelques applaudissements. Ces requêtes figurent également dans une lettre ouverte au PDG de Total publiée le même jour dans le quotidien Libération, et dans des tracts qui ont distribués par des membres du WWF déguisés en gorilles, à l'entrée du Palais des congrès où se déroulait l'AG. Total s'est engagé à ce qu'il n'opère pas dans le parc national des Virunga, et comme c'est prévu dans son code d'éthique, Total respecte toutes les lois en vigueur dans les pays où il opère, a répondu le patron du groupe pétrolier à la question écrite. Il a confirmé que Total entendait mener des activités de prospection en périphérie du parc, rejetant ainsi l'appel du WWF à les suspendre, mais a assuré qu'elles se feraient dans le respect des réglementations locales et internationales. Total prend ses décisions en respectant les lois en vigueur, a-t-il dit. Relancé sur ce sujet par Mme Autissier, il a observé que le groupe était loin d'avoir commencé ses activités aux abords du parc, et s'est dit prêt à un dialogue constructif sur cette question. Concernant l'appel à ne jamais intervenir dans un site classé au patrimoine mondial de l'Unesco, il a indiqué ne pas pouvoir donner d'engagement à ce stade mais a promis de fournir une réponse circonstanciée au WWF. Par ailleurs, un représentant d'une autre ONG, Les Amis de la Terre, a également pris la parole durant l'AG, pour décerner verbalement au groupe le prix Pinocchio du développement durable. Il l'a aussi interpellé sur un projet d'exploration de sables bitumineux (une forme de pétrole non conventionnelle dont l'exploitation est très controversée) à Madagascar, dans la zone de prospection de Bemolanga, qui menacerait l'environnement et la population. J'aime beaucoup Pinocchio, donc ça ne me pose aucun problème, a ironisé le patron de Total, avant de critiquer la démarche de l'ONG, qu'il a accusée de lancer des reproches non étayés. A Madagascar, a-t-il rappelé, Total n'a pas trouvé de réserves suffisantes de sables bitumineux pour les exploiter, au grand dam selon lui des Malgaches, qui voient ainsi s'évanouir des espoirs de retombées économiques. Il a ajouté qu'avant de quitter l'île, le groupe allait vérifier si, à défaut de sables bitumineux, il était possible d'exploiter des hydrocarbures conventionnels à Bemolanga, dans l'intérêt général des Malgaches. (©AFP / 11 mai 2012 15h46)
A l’occasion de cette Assemblée générale, Christophe de Margerie a été reconduit à la tête de Total sans plébiscite
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/20120511trib000698129/christophe-de-margerie-reconduit-a-la-tete-de-total-sans-plebiscite.html
Situé à l’est de la RDC, près de la frontière avec l’Ouganda et le Rwanda, le parc des Virunga abrite plus de 200 espèces de mammifères, et en particulier des chimpanzés, des hippopotames, des éléphants, des okapis (espèce endémique) et des gorilles des montagnes et des plaines de l’est, deux espèces menacées d’extinction. Créé en 1925, il a été classé au patrimoine mondial de l’Unesco en 1979 et il est inscrit à la Convention de Ramsar sur les zones humides. Or cette protection est en train de battre de l’aile. En juin 2010, des permis d’exploration pétrolière ont en effet été attribués par le gouvernement congolais à trois compagnies européennes, Total, ENI et Soco International. Selon le WWF, le territoire visé par ces permis recouvre 85% de la superficie du parc. Juridiquement, l’exploration pétrolière s’avère en principe interdite au sein du parc, en raison de conventions internationales comme de la loi congolaise. En mars 2011, à la demande de l’Unesco, le ministère de l’environnement a demandé une évaluation environnementale afin de préciser les impacts de cette industrie extractive dans la région. Mais «certaines entreprises vont de l’avant, avant même que ce processus ne soit conclu», alerte le WWF, qui affirme que Total va bientôt débuter une exploration aux abords du parc et que la société britannique Soco International aurait d’ores et déjà démarré des activités à l’intérieur. Pour stopper toute exploration, l’association de protection de l’environnement lance donc ce 11 mai une campagne nationale intitulée «SOSVirunga». Isabelle Autissier, sa présidente, s’est rendue à l’assemblée générale des actionnaires de Total, ce 11 mai. Elle avait transmis une question écrite et a pris la parole lors de la séance de questions-réponses. «La biodiversité, c’est un peu notre assurance-vie à nous tous sur la planète», a-t-elle rappelé. Elle a expressément demandé à Christophe de Margerie, PDG du groupe, d’assurer qu’aucune exploration ne serait réalisée au sein du parc, ni dans aucun autre site classé au patrimoine mondial de l’Unesco. (11 mai 2012, Stéphanie Senet)
«Total s’est engagé à ne jamais opérer dans le parc et respecter les lois en vigueur dans les pays où il opère», a répondu Christophe de Margerie, qui a toutefois confirmé que des opérations de prospection allaient être menées en périphérie.
Chypre: 15 candidats à l'exploration de gisements, dont Total
NICOSIE - Chypre a annoncé vendredi que 15 sociétés et consortiums, dont le français Total, avaient déposé des offres lors d'enchères portant sur 12 blocs d'exploration pétrolière et gazière au large de l'île méditerranéenne, en dépit de l'opposition de la Turquie à ces prospections. Le ministre chypriote du Commerce, Neoclis Sylikiotis, a affirmé que la seconde phase d'enchères qui s'est achevée vendredi avait dépassé les attentes. Les offres ont été déposées par dix consortiums et cinq groupes, dont le français Total, le malaisien Petronas et l'américain ATP. La décision finale, qui portera sur 12 des 13 blocs de la République de Chypre, doit être prise par le gouvernement dans les six mois. L'américain Noble Energy, qui s'est déjà vu attribuer le bloc n°12 en 2011, a annoncé qu'il avait découvert un gisement de gaz pouvant atteindre 226,5 milliards de mètres cubes, pour une valeur estimée de 100 milliards d'euros. Selon plusieurs médias, d'autres gisements de gaz mais également de pétrole pourraient être mis au jour dans les blocs adjacents. La Turquie s'est fermement opposée à ces explorations menées par le gouvernement chypriote qu'elle ne reconnaît pas, les qualifiant dillégales. Ankara ne reconnaît que la République turque de Chypre du nord (RTCN), contrairement au reste de la communauté internationale. La Turquie estime que la partie grecque-chypriote n'a pas le droit de faire des recherches tant que l'île est divisée, car cela revient à exclure les Chypriotes-Turcs du bénéfice des ressources découvertes. Chypre a maintes fois répété sa détermination à faire valoir son droit souverain à exploiter ses ressources énergétiques, dans le cadre des lois internationales. Chypre est divisée depuis 1974, après que la Turquie a envahi le nord de l'île à la suite d'un coup d'Etat fomenté par des nationalistes chypriotes-grecs et visant à rattacher le pays à la Grèce.
Pollution | Aujourd'hui à 17h49 | Actu-Environnement.com
L'opération dite "top kill" visant à boucher le puits G4 de la plate-forme d'Elgin (Ecosse), à l'origine d'une fuite de gaz depuis le 25 mars, serait lancée dès que la météo le permettra et ce "d'ici quelques jours",a annoncé jeudi 10 mai Total dans un communiqué. Un navire de forage, placé à proximité de la plate-forme d'Elgin, est prêt à lancer cette opération consistant à injection de la boue lourde dans le puits. Plusieurs survols de la zone touchée ont confirmé que "la fuite de gaz continuait de diminuer", a assuré le groupe. Le volume de gaz s'échappant du puits est désormais estimé à environ 50.000 mètres cubes (m3) par jour contre 200.000 m3/jour initialement, souligne Total.
Le forage en parallèle du premier puits de secours, débuté le 18 avril en cas d'échec de l'opération ''se poursuit" également. Selon l'AFP, ce vendredi 11 mai, le PDG de Total Christophe de Margerie a également réaffirmé que les études environnementales menées sous l'égide des autorités britanniques n'avaient détecté "aucun dégât sur le plan environnemental", hormis les émissions de gaz à effet de serre liées au gaz naturel qui s'échappe dans l'atmosphère. Total espère toujours reprendre l'exploitation d'Elgin/Franklin avant la fin de l'année. Rachida Boughriet
Mise à jour le jeudi 10 mai 2012 à 8 h 59 HAE
Les organisateurs d'un débat prévu jeudi soir à Fredericton espèrent que les participants voient les deux côtés de la médaille de l'exploitation du gaz de schiste. Il sera notamment question de l'impact environnemental de l'industrie, de la création d'emplois et de l'industrialisation du Nouveau-Brunswick rural. Le modérateur, le Dr Jean-Louis Deveau, regrette que ni les autorités provinciales, ni l'industrie n'aient jugé bon d'y participer.
TOUT TOUT SUR LE GAZ DE SCHISTE AU QUEBEC :
http://www.ledevoir.com/dossiers/gaz-de-schiste/2
Spencer, NY says no to a natural gas ban :
NEW YORK rejette un moratoire sur la fracturation hydraulique/Spencer Town Council Resolved Not To Pursue Any Fracking Moratorium
http://groups.yahoo.com/group/CitizensEnergyAlliance/message/1902


Hygiene / Securite / Sante | 10 mai 2012 | Actu-Environnement.com
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A la suite de rejets de tritium par deux centrales, Golfech (Tarn-et-Garonne) en 2010 et Civaux (Vienne) en 2012, le réseau sortir du nucléaire (RSN) a décidé respectivement de faire appel de la relaxe d'EDF et de déposer une plainte.
Fin mars 2012, le tribunal a relaxé EDF pour la fuite de 450 litres d'effluents radioactifs rejetés dans le milieu naturel, intervenue en janvier 2010 à la centrale de Golfech. "A la suite de cet évènement grave, du tritium a été découvert dans la nappe phréatique. Quelques mois avant cet incident, les associations locales avaient déjà démontré la présence, dans les algues de la Garonne, de ce radioélément. EDF ne peut ainsi violer impunément la législation, nuire à l'environnement, et faire peser des risques graves sur la santé des travailleurs du nucléaire et des riverains", explique RSN à l'origine d'une plainte déposée en novembre 2010, avec FNE Midi-Pyrénées et les Amis de la Terre Midi-Pyrénées. Lors de l'audience, le Parquet, qui a également fait appel selon RSN, avait "retenu deux infractions et a requis une amende de 1.000 euros pour chacune d'entre elles". Le 7 février dernier, RSN et plusieurs associations locales (ACEVE, UFC 86 et Vienne Nature Environnement) ont également déposé une plainte pour des rejets de tritium par la centrale de Ciovaux, constatés début janvier. "Le 4 janvier 2012, un prélèvement réalisé dans les eaux souterraines de la centrale de Civaux a révélé une activité volumique en tritium de 540 bq/l alors que les mesures attendues sont normalement inférieures à 8 bq/l". Le 24 janvier, à la suite d'une inspection sur le site, l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a mis en demeure EDF de restaurer l'étanchéité de la capacité de rétention des réservoirs d'entreposage des effluents radioactifs de la centrale nucléaire de Civaux.
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Un navire brésilien qui a sombré, sans faire de victimes, en avril 2012, provoque une petite marée noire en Antarctique. L’épave est piégée dans les glaces. Or, elle contient 8000 litres de carburants qui fuient. « Une épave de navire brésilien est coincé sous la glace et du pétrole s’en écoule. Il n’y a aucun moyen d’intervenir avant la fin du long hiver polaire en octobre », rapporte le New Zealand Herald le 10 mai. La plus importante marée noire de la région remonte à 2007 avec le naufrage d’un navire de tourisme qui a laissé s’échapper plus de 200 000 litres de carburant.
ZOOM : Touché par un scandale, Chesapeake plonge à nouveau en Bourse: craintes pour ses liquidités
NEW YORK - Le groupe énergétique américain Chesapeake a plongé à la Bourse de New York vendredi, après avoir averti que ses ventes d'actifs gaziers commençaient à nuire à sa capacité à générer des revenus à long terme, ce qui pourrait affecter ses capacités de refinancement.
Et si des "prises illégales d'intérêts" menaçaient l'essor de l'éolien en France
Le procureur d'Argentan a ouvert une enquête préliminaire sur d'éventuelles "prises illégales d'intérêts" d'élus locaux lors de l'élaboration des zones de développement éolien (ZDE) dans le département de l'Orne. Si l'infraction était constatée, c'est tout le développement de l'éolien terrestre en France qui serait menacé. A l'origine de la plainte, deux associations (Dominique Pialot)
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