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Publié le par nongazdeschisteinfos

PERMIS RHONE MARITIME

Daniel Lieppe, Président des Amis du Parc National de Port Cros s’interroge sur la légalité du permis. Noble Energie n’est qu’une simple boite aux lettres domiciliée pour 18 euros/mois. Elle ne publie pas ses comptes et son capital social de 40 000 euros est dérisoire pour faire face à ses engagements financiers ; lesquels conditionnent l’octroi d’un Permis Exclusif de Recherches.

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Michel Berthelot communique et rappelle : TRAFALGAR DU SCHISTE les 7 et 8 AVRIL 2012

Gaz, pétrole : un Texan veut forer au large de Toulon 

PERMIS-RHONE-MARITIME_2.pngLes opérateurs pensent trouver du pétrole ou du gaz dans le périmètre du permis Rhône Maritime. Un puits d’exploration pourrait être foré pour un coût d’environ 35 millions de dollars. Le renouvellement d’un permis de prospection est demandé à moins de 30 km du littoral et aux portes du sanctuaire Pélagos. Les ministères de l’Industrie et de l’Écologie devront trancher.


La course au pétrole et au gaz s'accélère. La société texane Noble Energy veut lancer une campagne de prospection sismique en 3D près du littoral méditerranéen, au large de Marseille et d'Hyères, jusqu'aux portes du sanctuaire des cétacés Pélagos - à moins de 30 km des côtes et en pleine zone de protection écologique. Les opérateurs espèrent réaliser des forages d'exploration ou d'exploitation entre 1 600 et 2 600 mètres de profondeur (soit jusqu'à 1 000 m de plus que le puits Macondo, dans le golfe du Mexique).

Déjà une première campagne

Les recherches d'hydrocarbures se sont intensifiées en Méditerranée depuis 2010. D'importantes couches de sédiments pourraient s'être transformées en pétrole ou en gaz à proximité des côtes françaises, dans le delta du Rhône. En 2002, un arrêté du ministère de l'Industrie avait accordé un permis exclusif de recherche d'hydrocarbures, dit « Rhône Maritime », renouvelé une première fois en 2006, et valable jusqu'au 19 novembre 2010. Le 29, le Bergen Surveillor avait appareillé pour une campagne sismique, a priori dix jours après la date d'expiration légale du permis.Cette campagne de prospection, jugée dangereuse pour les cétacés, avait été dénoncée par WWF, Greenpeace, le sanctuaire Pélagos et des associations de défense de l'environnement.  Mais les résultats de ces récents doivent être encourageants pour la société qui veut prospecter. Une demande de renouvellement du permis jusqu'au 19 novembre 2015 est en cours d'instruction, sur 9 375 km2. Une superficie supérieure à celle de la Corse.

Cette nouvelle campagne de prospection est demandée par Melrose et Noble Energy France SAS, sous réserve de l'acceptation du ministre chargé des mines. Noble Energy, société basée à Houston, Texas, aux États-Unis, a racheté 72,5 % du permis à Melrose. Selon les opérateurs, « tous les éléments nécessaires à un système pétrolifère actif sont potentiellement présents ».

Aucune date

Bientôt des puits d'extraction de pétrole ou de gaz au large de Toulon, Hyères et du parc national de Port-Cros ? La balle est dans le camp des ministères de l'Industrie et de l'Écologie. La date de mi-février était avancée pour un feu vert éventuel. Le ministère de l'Industrie, contacté ces jours-ci, refuse de confirmer cette échéance. D'autres sources font état d'une décision à venir après la manifestation des opposants, prévue le week-end de Pâques. Enfin, les services d'Éric Besson précisent que l'industriel concerné recherche « du gaz et non du pétrole »et qu'il s'est engagé à ne pas avoir recours à la fracturation hydraulique (interdite). Et qu'en Méditerranée, dans le cadre de cette recherche d'hydrocarbures, onze puits ont déjà été forés en zone française. Mais aucun gisement n'a été découvert. « La France et l'Europe ont durablement besoin de volumes non négligeables de gaz naturel »,qui remplace le charbon ou le fioul dans certaines centrales électriques. « Actuellement 98 % de notre consommation de gaz provient de gisements à l'étranger » y compris de gisements offshore, ajoute le ministère. Pas sûr que ces arguments essentiellement économiques suffiront à convaincre les réfractaires. Publié le dimanche 12 février 2012 à 09h11 - 

http://www.corsematin.com/article/gaz-petrole-un-texan-veut-forer-au-large-de-toulon.581196.html


La candidate d'Europe Écologie pointe des risques importants pour l'environnement.

Par Charlotte Chaffanjon

La candidate écologiste à la présidentielle Eva Joly, en visite lundi à Marseille, a appelé le gouvernement à ne pas renouveler le permis de recherche d'hydrocarbures en Méditerranée, pointant les risques pour l'environnement d'un forage pétrolier. "Je suis venue dire que renouveler ce permis, c'est folie furieuse", a déclaré Eva Joly lors d'une conférence de presse dans un restaurant sur la Corniche, lançant "No pasaran". "L'idée de faire du forage dans une mer fermée, entre 1 200 et 2 000 mètres, est pure folie", a-t-elle ajouté. "Les conséquences d'une fuite seraient irréparables sur la faune et la flore, il y a eu déjà, par l'effet des ondes acoustiques, de nombreux cétacés échoués de façon anormale l'année dernière", a assuré Eva Joly. "Nous devons développer les énergies renouvelables, et non pas nous acharner à trouver les dernières gouttes d'énergie fossile", a-t-elle ajouté.

18 mois pour statuer

Le gouvernement doit se prononcer d'ici à mi-avril sur le renouvellement d'un permis de recherche d'hydrocarbures liquides ou gazeux, au large des Bouches-du-Rhône et du Var. Accordé en 2002 à la société TGS-Nopec, ce permis était passé quatre ans plus tard dans les mains de la société Melrose Mediterranean Limited, pour une période expirant en novembre 2010. "L'absurdité, c'est que le permis est encore valable parce que l'administration a 18 mois pour statuer", a souligné Eva Joly, pour qui la philosophie du code minier est "décalée" et ne correspond pas "au XXIe siècle, où les ressources sont rares". Selon l'ancienne juge, le permis a été cédé en grande partie à la société Noble Énergie France, "dont nous ne connaissons pas les actionnaires". Eva Joly espère "la mobilisation des Marseillais" sur le sujet à l'occasion d'une grande manifestation au fort de Brégançon, résidence officielle du président de la République située à Bormes-les-Mimosas (Var), le 8 avril, intitulée "le Trafalgar des pétroliers". Selon une réponse du ministère de l'Écologie publiée le 17 janvier au Journal officiel, "le dossier est en cours d'instruction" Le Point.fr - Publié le 13/02/2012 à 16:24 (via Alain Dussou)


Autre dépêche VAR MATIN. Com (via Collectif Nimes anti schiste)

Flayosc: contre l'extraction du gaz de schiste

Publié le dimanche 12 février 2012 à 19h15

http://www.varmatin.com/article/actualites/flayosc-contre-lextraction-du-gaz-de-schiste.774139.html

http://memorix.sdv.fr/5/www.varmatin.com/services/meteo/849802021/Position1/SDV_NMA/default/empty.gif/77464f672b4531535a55454141445268?Le village fait partie des 40 communes varoises à avoir pris des arrêtés municipaux s'opposant à l'extraction du gaz et pétrole de schiste. Le collectif flayoscais, qui tenait dernièrement une réunion, a attiré un large public mobilisé contre les permis de Brignoles et de Méditerranée proche de la réserve naturelle de Port Cros. Une deuxième réunion est prévue le 22 février.


Les gaz de schiste reviendront en France aussi vite qu’ils en sont sortis

par Stéphane Parpinelli | Cleantech Republic | 10.02.12

http://www.cleantechrepublic.com/

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En France, les gaz et huiles de schiste resteront prisonniers des roches mères pour encore longtemps. Un an et demi. C’est le temps qu’il a fallu pour enterrer définitivement l’idée d’une filière nationale d’exploitation de ces hydrocarbures non conventionnels. Mars 2010 : trois permis d’exploration sont accordés, l’un à Total à Montélimar, deux au Texan Schuepbach Energy en Ardèche (Villeneuve-de-Berg) et en Aveyron (Nant). Octobre 2011 : ces trois permis sont abrogés, avec entre-temps, l’interdiction votée par le parlement en juin 2011 d’utiliser la fracturation hydraulique (technique dénoncée pour ses atteintes à l’environnement) sous la pression des citoyens et des élus. Pour autant, fallait-il jeter le bébé avec l’eau du bain ? Dans son livre « La France doit choisir » (p. 258), Jean-Louis Beffa, président d’honneur de Saint-Gobain, estime qu’il serait dramatique pour la France de ne pas profiter de l’avantage de posséder dans son sous-sol de réserves considérables de gaz exploitables. « Il est urgent [...] d’engager sans tarder un programme de recherche et développement [...] », écrit-il. En jeu, l’indépendance énergétique de la France, en particulier lors des pics de demande dans les périodes de grand froid, comme celle qui traverse l’Europe en ce mois de février 2012. Les livraisons de gaz du Russe Gazprom vers l’Hexagone étant actuellement inférieures de 30% par rapport à la demande (source : Les Echos).

Un procédé de biogénération de gaz méthane à partir des roches mères

La France pourra-t-elle se passer des gaz de schiste ? Quelle est la réelle dangerosité de la fracturation hydraulique (comme dans tout débat passionné, beaucoup d’approximations ont été avancées au pic de la protestation) ? Existe-t-il un procédé alternatif et « propre » à l’hydrofracturation ? Sans se faire l’avocat du diable (parce que la fracturation hydraulique a montré qu’elle pouvait être diabolique), Cleantech Republic a souhaité, avant de plonger dans les entrailles de la terre, prendre de la hauteur et étudier, sans tomber dans l’irrationnel, les avantages et inconvénients de l’exploitation des gaz de schiste. Pour cela, la rédaction s’est appuyée sur l’expertise du scientifique Gilles Dromart (Professeur - ENS Lyon
Site : ENS Lyon - Bureau : LE619 - Tél. +33 4 72 72 84 13 - Contact : Gilles.Dromart at ens-lyon.fr). Lequel est non seulement professeur des Sciences de la terre au Laboratoire de Géologie de Lyon, mais aussi cofondateur de Tharsis Energy, une start-up, fondée en novembre 2010, qui développe et exploite un procédé de biogénération de gaz méthane à partir des roches mères du sous-sol géologique.

http://www.cleantechrepublic.com/

GAZ DE SCHISTE GRAND ENTRETIEN gaz-de-schiste-grand-entretien-gilles-dromart-fev2012 gaz-de-schiste-grand-entretien-gilles-dromart-fev2012


VIA JOSH FOX 

rampant city gas FUITES DÉCELÉES DE GAZ DE VILLE 

Pour l’article complet (assez long et en anglais) :

http://www.loe.org/shows/segments.html?programID=12-P13-00002&segmentID=3 


Josh Fox  recommande : 
If you read anything all week, read this. Bill McKibben on the "Carbon Bubble" Key quote: "If we spew 565 gigatons more carbon into the atmosphere, we’ll quite possibly go right past that reddest of red lines. But the oil companies, private and state-owned, have current reserves on the books equivalent to 2,795 gigatons -- five times more than we can ever safely burn. It has to stay in the ground. Put another way, in ecological terms it would be extremely prudent to write off $20 trillion worth of those reserves." 

Si vous ne lisez que ça cette semaine, lisez ceci. « La bulle de carbone » par Bill McKibben. « Si nous répandons plus de 565 gigatonnes de carbone dans l'atmosphère, nous avons très probablement franchi la plus rouge des lignes rouges. Mais les compagnies, privées et d'Etat, ont des réserves courantes d’environ 2.795 gigatonnes – soit cinq fois plus que nous pouvons brûler sans risque. Elles doivent rester en terre. D’ une autre manière, en termes écologiques, il serait extrêmement prudent d'enterrer $20 trillion de ces réserves."


Each day hundreds of thousands of abandoned leaking oil wells and natural-gas wells spew toxic pollutants into the environment—and tens of millions more will soon join them—thanks to fatally flawed gas and oil-well capping and lax or nonexistent industry and government oversight. A three-month EcoHearth.com investigation has revealed this developing environmental calamity that almost no one is paying attention to and that gravely threatens ecosystems worldwide.

Chaque jour, des centaines de milliers de puits de pétrole abandonnés et des puits de gaz naturel répandent les polluants toxiques dans l’environnement et des dizaines de millions de plus les rejoindront bientôt grâce au rebouchage défectueux des puits de pétrole et de gaz qui relâchent à cause de l'inadvertance de l'industrie et de gouvernement. Une enquête de trois mois d'EcoHearth.com a indiqué que cette calamité environnementale se développait sans que presque personne n’y prête l'attention et pourtant menace gravement les écosystèmes dans le monde entier.

Et si l’on reparlait des dangers des liquides de fracturation ?

Fracturing natural gas wells requires hundreds of tons of chemical liquid

Fracturing natural gas wells requires hundreds of tons of chemical liquids.pdf/blog

By Bob Downing , Beacon Journal staff writer  

 

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 L'industrie pétrolière indique que seulement peu de produits chimiques sont employés et qu’ ils sont sûrs. Mais les opposants disent que les additifs utilisés dans le forage pour le gaz naturel sont toxiques et menacent l'eau potable. Un fait émerge en Ohio cependant que les sites de forage deviennent plus étendus dans les gisements de schiste : c’est que la « fractuation hydraulique » exige des centaines de tonnes d'additifs chimiques liquides pour chacune d’elle. Il est également exigé 10.5 millions de gallons d'eau (±20 000m3 par fracturation) et 5.066 tonnes du sable. L'eau et le sable composent les ingrédients principaux entrant dans les puits pour fissurer la roche et libérer le gaz naturel. Dr. Jeffrey C. Dick, Président du département de géologie à l'université de l'Etat de Youngstown. a obtenu leur premier aperçu des produits chimiques toxiques employés dans les puits par l'intermédiaire d'un site Web national, WWW. fracfocus.org. Le Dr. Donald Palmer, un professeur de  géologie à l'Université de l'Etat de Kent, a dit « qu'il n'était pas étonné par la quantité incroyable de produits chimiques. Cela comporte des centaines de chargements de camion de produits chimiques et d’eau de fracturation », a-t-il ajouté. CHESAPEAKE a employé également une mousse d'anhydride carbonique au lieu de l'eau pour la fracturation. L'ingrédient toxique uméro 1 entrant dans les puits de Mangun était de 304 tonnes d'acide chlorhydrique. Il est employé pour nettoyer la boue de ciment et de forage avant que le fluide de fracturation soit injecté. On injecte également 41.7 tonnes d'agents tensio-actifs, matériaux pour réduire la tension superficielle du fluide de fracturation et pour permettre au liquide de s’écouler plus facilement. Cela a signifie que dans  le ont été injectés approximativement 38.035 tonnes de l'eau et 5.066 tonnes du sable.

EN FINIR AVEC LES ENERGIES SALES (via Peitei Sapiri)

Ce qui entre dans les puits de gaz dans le processus de la fracturation hydraulique est à  99.5 % de l'eau et du sable, indiquent les Compagnies pétrolière et les additifs sont typiquement les mêmes que ceux utilisés dans les cuisine ou dans les garages, et certains sont même employés dans l’industrie alimentaire. Pourtant, beaucoup de ces produits chimiques sont connus pour être toxiques pour la santé humaine et  la faune, et plusieurs sont connus pour causer le cancer. Des quantités très petites des produits chimiques issus de la fracturation hydraulique ont pu polluer des millions de litres d'eaux souterraines. Selon un groupe de travail environnemental, le plus grand souci porte sur les distillats de pétrole dans les fluides de fracturation. De tels distillats sont susceptibles de contenir du  benzène, un carcinogène humain connu, des composés organiques volatils, y compris le dichloroéthane. D'autres substances toxiques incluent les hydrocarbures aromatiques, le méthanol, le formaldéhyde, le gylcol d'éthylène, les éthers de glycol et l'hydroxyde de sodium polycycliques. L'Agence pour la Protection de l'Environnement des États-Unis (EPA) examine à nouveau les produits chimiques de la fracturation hydraulique. On n’en  connaît pas encore les résultats -bdowning@thebeaconjournal.com.

La première éolienne offshore de France érigée en Loire-Atlantique - LEMONDE.FR avec Reuters | 13.02.12 | 18h11 (via Christian Malapris)

 

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Cette première éolienne offshore en France doit servir de test pour les cinq premiers champs d'éoliennes offshore qui vont être établis au large des côtes françaises.

REUTERS/STEPHANE MAHE

La toute première éolienne offshore française est actuellement érigée par Alstom au Carnet (Loire-Atlantique). Dotée des plus longues pales (73,5 mètres) et de la plus puissante turbine au monde, cette éolienne géante a vocation à servir de test pour l'exploitation et la maintenance des cinq premiers champs d'éoliennes offshore qui vont être établis au large des côtes françaises.

Dans ce cadre, trois consortiums, menés par EDF Energies nouvelles, GDF Suez et l'espagnol Iberdrola, ont déposé le 11 janvier des offres auprès de la Commission de régulation de l'énergie, avant une présélection en avril et une attribution définitive des projets en 2013.

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Haute comme une demie tour Eiffel, cette éolienne géante est dotée des plus longues pales du monde (73,5 mètres).REUTERS/STEPHANE MAHE

Associé à EDF, Alstom prévoit ainsi la construction de quatre usines à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) et Cherbourg (Manche), ainsi que la création de 7 500 emplois. Le fournisseur conditionne toutefois son investissement de "plus de 100 millions d'euros" à l'obtention d'au moins trois des quatre champs d'éoliennes sur lesquels il s'est porté candidat.

L'Haliade 150 – qui tire son nom des nymphes marines de la mythologie grecque – verra ses pales géantes tourner pour la première fois d'ici à un mois. Haut comme une demi-tour Eiffel, ce "joujou d'essais" des ingénieurs d'Alstom va alimenter en électricité 8 000 riverains.

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L'Haliade 150 - qui tire son nom des nymphes des mers de la mythologie grecque - a la plus puissante turbine au monde.REUTERS/STEPHANE MAHE

Dotée d'une autorisation d'installation temporaire en raison d'imbroglios juridiques, elle a toutefois vocation à être démontée dans cinq ans, pour être réimplantée en mer. A l'instar d'Alstom, son concurrent Areva – fournisseur de GDF Suez en Normandie et d'Iberdrola en Bretagne – espère lui aussi bénéficier du projet français pour pouvoir vendre ensuite sa technologie à l'étranger.

L'appel d'offres du gouvernement français porte au total sur 500 à 600 éoliennes réparties sur cinq zones, qui devraient représenter une puissance cumulée de 3 000 mégawatts (MW) et un investissement de 10 milliards d'euros.

  
http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/02/13/la-premiere-eolienne-offshore-de-france-erigee-en-loire-atlantique_1642872_3244.html

 


BREAKING NEWS
Christophe de Margerie défend les résultats de Total

Le 13 février 2012 par Astrid Gouzik


Paris, le 13 février 2012 - Nicolas Sarkozy convoque aujourd’hui à 17h à l’Elysée, les huit associations de protection de l’environnement pour effectuer un « bilan d’étape » du Grenelle de l’environnement. Les Amis de la Terre, qui ont été conviés, ont décidé de refuser cette invitation pour signifier leur refus d’être instrumentalisés à quelques mois de l’élection présidentielle et au vu des récentes « sorties » scandaleuses du chef de l’Etat sur l’écologie.

http://www.amisdelaterre.org/Grenelle-de-l-environnement-les,5120.html 


Visite de XI Jinping

Français>>EconomieMise à jour 13.02.2012 13h54

La Chine accélérera l'exploitation du gaz de schiste en 2012


Les Echos : Tepco en perte de plus de 6 milliards d'euros sur 9 mois
EDF dépose son offre de reprise pour Photowatt

De nouveaux produits biocides interdits

Aujourd'hui à 11h25  |  Actu-Environnement.com

Par deux décisions publiées le 11 février au Journal officiel de l'Union européenne, la Commission interdit la mise sur le marché de nouveaux produits biocides.


N.Sarkozy a décidé de prolonger la durée de vie des centrales françaises

 


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traduction : danièle favari

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