La malédiction du gaz de schiste

Publié le par nongazdeschisteinfos

La malédiction du gaz de schiste

Mardi 29 janvier 2013 à 20:50 sur ARTE
Rediffusion samedi 2 février à 10H25 et mercredi 13 février à 09H55 - (France, 2012, 75mn)
De la Pologne à la Pennsylvanie, Lech Kowalski met à jour le fossé entre le discours des industriels et la réalité de l’exploitation du gaz de schiste. Un film coup de poing.

Zamosc, en Pologne orientale : au hasard d’un tournage dans cette région rurale, Lech Kowalski rencontre en 2009 des paysans sur les terres desquels de grandes firmes américaines ont commencé à prospecter pour extraire du gaz de schiste. Fissures dans les murs des fermes, pollution des eaux, bulldozers investissant des champs à quelques dizaines de mètres des habitations… Les villageois sont inquiets. Or cette situation locale n’a rien d’anecdotique et témoigne d’un phénomène qui menace aujourd’hui toute la planète. Bradford County, aux États-Unis, est au gaz de schiste ce que l’Arabie Saoudite est au pétrole. Mais on est loin de l’image idyllique d’une "énergie non conventionnelle" propre et d’exploitation aisée que veulent donner les industriels. Dans ce petit comté du nord-est des États-Unis, le réalisateur filme des paysages dévastés et l’épuisement physique et psychologique des habitants.

Un combat inégal

Cinéaste underground, passionné par les groupes à la marge (les SDF dans Rock soup, les punks dans Born to lose) et les grandes tragédies de l’histoire européenne (Hitler’s highway), Lech Kowalski s’aventure ici dans les profondeurs de la campagne polonaise. Il dépeint le combat inégal de petites gens victimes de contrats léonins, pour la sauvegarde de leurs villages, de leurs maisons, de leurs exploitations agricoles, de leur eau et de leur santé – et qui remportent quelques victoires inattendues. L’enjeu est de taille : la Pologne voit dans cette énergie nouvelle une promesse d’indépendance vis-à-vis du gaz russe. À l'instar du travail d'investigation entrepris il y a deux ans aux États-Unis par Josh Fox dans Gasland – disponible en DVD chez ARTE Éditions –, ce documentaire constitue une mine d’informations sur les pratiques des compagnies de forage et sur les conséquences de cette exploitation sur la vie quotidienne des Européens.

Suivi à 22h05 d'un débat jusqu'à 22h40 environ, en présence de José Bové.


Gaz de schiste : avis favorable pour Gargas

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Pascal Durand, secrétaire national d’Europe Ecologie Les Verts était hier en visite dans le Vaucluse. Lors de son passage à Carpentras, Olivier Florens, conseiller général d’EELV, a annoncé qu’on n’en avait pas fini avec les permis de recherches de gaz de schiste dans le département : il venait d’apprendre que l’ancien préfet, juste avant de partir, avait émis un avis favorable au permis de Gargas sur des hydrocarbures "conventionnels". Désormais, c’est au ministre de l’écologie de trancher. "Dès demain matin, a assuré le successeur de Cécile Duflot, je lui transmettrai un courrier. Le Premier ministre m’avait assuré qu’il n’y aurait pas de permis accordé même pour du conventionnel. On ne lâchera pas." Il y a quelques semaines, Delphine Batho, ministre de l’Écologie avait écrit au président du Conseil général du Vaucluse, Claude Haut, pour mettre fin aux inquiétudes des élus locaux. Elle avait assuré que toute demande de permis d’exploration ou d’exploitation de gaz de schiste serait rejetée. L’an dernier, une demande de permis d’exploration de gaz de schiste concernant un territoire de 870 km² autour de Gargas en plein parc du Luberon avait été déposée par la société Thetys Oil Company. Publié le 26 janvier 2013

Communes concernées : Cavaillon, Lagnes, Robion, Cheval-Blanc,Mérindol, Puget, Lauris, Cadenet, Ansouis, Cucuron, Lourmarin, Bonnieuux, Goult, Roussillon, Garga, Apt, Saignon, Villars, Saint-Saturnin-lès-Apt, Lioux, Villelaure, Céreste, Viens, Gignac, Caseneuve, Rustrel,  Revest-des-Brousses et  Simiane-la-Rotonde.


Dans le dernier BMI du BEPH qui vient de paraître ce 28 janvier 2013 :

PERMIS DE NIMES (M595 par Egdon Resources) : expiré le 27.12.2012

PERMIS "AQUITAINE MARITIME" (P548 par Vermilion Rep) : expiré le 13.12.2012


Les entreprises françaises convoitent le gaz de schiste à l’étranger : Veolia et Suez sont candidats pour le traitement de l’eau sur des projets de forages en Australie.

Les deux groupes ont été retenus dans la « short list » d'un appel d'offre supérieur au milliard d'euros dans le gaz de charbon dans le Queensland. Ils se retrouvent là comme ailleurs en concurrence.

Tous deux à l'affût de relais de croissance, Suez Environnement comme Veolia se positionnent sur les nouveaux marchés porteurs. Mais là comme ailleurs, les deux poids lourds tricolores du traitement de l'eau se retrouvent en concurrence. C'est aujourd'hui le cas sur les gaz de schiste et de charbon (le fameux grisou). Selon nos informations, Veolia Environnement et Suez Environnement sont, avec General Electric, trois des quatre candidats présélectionnés pour un appel d'offre d'une taille exceptionnelle, supérieur au milliard d'euros, dans le gaz de charbon. Ils sont en cours de remise d'offre et Queensland Gas Company (QGC) devrait finaliser au deuxième trimestre le contrat avec l'opérateur retenu. Ce dernier exploitera durant vingt ans les quatre installations de traitement d'eau du titanesque projet « Queensland Curtis LNG », estimé à 20 milliards de dollars (15 milliards d'euros). Cette filiale de BG Group (ex-British Gas) développe dans le Queensland (nord de l'Australie) le premier projet au monde qui liquéfiera sur l'île de Curtis le gaz de charbon produit à l'intérieur des terres et acheminé par 540 kilomètres de pipelines, avant de le vendre dans l'ensemble de l'Asie à partir de 2014.

Yoko-Ono-and-Sean-Lennon-eaux-de-fracking.jpgDépollution intégrale de l'eau

L'Australie est, avec les Etats-Unis et le Canada, l'un des trois grands pays producteurs de gaz de schiste et de charbon. Mais c'est aussi celui où la pollution que cela entraîne, en particulier celle liée aux fluides de fracturation très toxiques injectés dans le sous-sol, a suscité les plus vives controverses. La législation du Queensland a été durcie et « Queensland Curtis LNG » est astreint à dépolluer intégralement l'eau remontée des puits pour qu'elle soit réutilisée, seul étant enfoui le résidu solide toxique après concentration et évaporation. Ce projet comprend un cycle complet de traitement de l'eau (si l'on oublie l'eau polluée restée dans le sol), contrairement à nombre d'autres, notamment aux Etats-Unis, où l'eau polluée est simplement rejetée. Veolia et Suez Environnement ont donc visiblement estimé pouvoir y être associés sans dommage pour leur image. Difficile de chiffrer le marché mondial du traitement de l'eau dans les énergies non conventionnelles car ce dernier ne se développera que sous la pression des écologistes. Aux Etats-Unis, il n'est pas rare de rejeter l'eau polluée ou semi-traitée dans les affluents.

Cycle complet de traitement de l'eau

Sur ce marché émergent, Veolia qui, hasard du calendrier, présente ce jeudi à la presse ses « nouveaux métiers », est le plus avancé des deux Français. Il a bâti cette activité sur l'acquisition en 2005 d'une émanation du Massachusetts Institute of Technology (MIT) spécialisée dans le traitement par membranes de l'eau dans le non conventionnel. « Nous sommes un des deux seuls acteurs au monde à savoir traiter les effets sur l'eau de l'exploitation du gaz de schiste », avait souligné son PDG Antoine Frérot en novembre dernier dans un entretien aux « Echos » . Traduction : il est le seul avec General Electric à assurer le cycle complet de traitement de l'eau, et pas des parties de ce cycle. Il a remporté un premier contrat de ce type en 2011 aux Etats-Unis avec le groupe d'énergie américain PXP (pour la construction et l'exploitation) et a des appels d'offre en cours. Au Canada, il n'intervient encore que sur des parties de cycle. Avec sa filiale HPD, spécialiste de la cristallisation, Veolia veut aussi se positionner sur la partie complexe des traitements, dont il estime détenir un tiers du marché, contre un tiers pour General Electric, le leader historique et un tiers pour les groupes en consortium. La construction de ce type d'installations croit de 20 % par an. Reste à en obtenir également l'exploitation : les pétroliers l'externalisent encore rarement. Par Myriam Chauvot | 23/01  


Gaz de schiste: l'Ukraine engage le duel avec Moscou et signe un gros contrat avec ShellUkraine-et-Shell-signent-un-gros-contrat_img-left.jpg

Le président ukrainien Viktor Yanukovych (à gauche) et le Premier ministre néerlandais Mark Rutte (à droite) après la signature de l'accord, le 24 janvier 2013 à Davos © AFP Eric Piermont

DAVOS (Suisse) - (AFP) - L'Ukraine et le groupe anglo-néerlandais Shell ont signé jeudi à Davos un important contrat de production de gaz de schiste qui devrait déboucher sur un investissement de plus de 10 milliards de dollars. Le président ukrainien Viktor Ianoukovitch et le directeur général de Shell, Peter Voser, ont signé cet accord en marge du 43e Forum économique mondial, qui réunit chaque année dans cette station de ski suisse l'élite économique et financière mondiale. Le ministre ukrainien de l'Energie, Edouard Stavitsky a estimé la valeur de ce contrat à quelques dix milliards de dollars, soit un investissement sans précédent en Europe pour cette source d'énergie controversée.

Le président ukrainien a assuré que cet accord n'était que "le début" d'une plus grande coopération en matière d'énergie. L'Ukraine, qui aspire à réduire sa dépendance énergétique de Moscou, détient selon les estimations du gouvernement américain les quatrièmes réserves de gaz de schiste en Europe, après la Pologne, la France et la Norvège.

Shell va sonder 15 puits sur le gisement d'Iouzovske, dans les régions de Kharkiv et Donetsk (est de l'Ukraine), a récemment expliqué le ministre ukrainien de l'Environnement et des Ressources naturelles Oleg Proskouriakov, cité par le quotidien Kommersant. "Dans cinq ans, nous allons pouvoir produire plusieurs milliards de mètres cubes de gaz par an et dans 10 à 15 ans, aller jusqu'à 10 à 20 milliards" de mètres cubes, a assuré le ministre. Le scénario optimiste de Shell prévoit une production de 20 milliards de mètres cubes de gaz par an et celui, pessimiste, d'"au moins sept à huit milliards de mètres cubes", a nuancé M. Stavitsky à Davos. En septembre 2011, Shell avait déjà signé avec Kiev un accord visant à investir jusqu'à 800 millions de dollars dans l'exploration et la production de gaz de schiste. Très dépendant des importations de gaz russe qu'elle juge trop onéreuses, l'Ukraine veut en réduire sa consommation et trouver des sources d'énergie alternatives. En 2012, un autre géant américain, Chevron a remporté un appel d'offres pour l'exploration du gisement de gaz de schiste d'Olesske, dans l'ouest de l'Ukraine.

En août dernier, un consortium mené par Shell et le géants pétroliers américain ExxonMobil a par ailleurs remporté un appel d'offres portant sur la production d'hydrocarbures sur le plateau continental de la mer Noire en Ukraine. Le consortium qui comprend également le groupe roumain Petrom, qui appartient à l'autrichien OMV, et l'entreprise publique ukrainienne Nadra Ukraïny, s'occupera de l'exploration du secteur Skifski du plateau située dans la partie nord-ouest de la mer Noire, à proximité de la Roumanie. Ce secteur devrait permettre de produire de 3 milliards à 4 milliards de mètres cubes de gaz par an, selon des estimations. Un parti d'opposition nationaliste, Svoboda, entré pour la première fois au Parlement en 2012, s'est dores et déjà opposé à la production du gaz de schiste en Ukraine, s'inquiétant des risques environnementaux qu'entraînerait selon elle la méthode de la fracturation hydraulique utilisée. © AFP


Inscrire le préjudice écologique dans le code civil : une deuxième proposition de loi

Les députés Alain Leboeuf (UMP – Vendée) et Christophe Priou (UMP – Loire-Atlantique) ont déposé le 23 janvier sur le bureau de l'Assemblée une nouvelle proposition de loi visant à inscrire la notion de préjudice écologique dans le code civil.La proposition de loi de MM. Alain LEBOEUF et Christophe PRIOU visant à inscrire la notion de préjudice écologique dans le code civil, n° 646, déposée le 23 janvier 2013 (mis en ligne le 24 janvier 2013 à 17 heures 45)
et renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la république

http://www.assemblee-nationale.fr/14/dossiers/inscription_prejudice_ecologique_code_civil.asp

L'"avancée majeure" de  la décision de la Cour de cassation du 25 septembre 2012 sur l'Erika reconnaissant la notion de préjudice écologique "reste aujourd'hui encore trop fragile", expliquent les députés, "en raison notamment de restrictions dans le champ d'application de la loi du 1er août 2008 qui limite les mesures de réparation aux dommages les plus graves, mais surtout d'une absence de formalisation dans notre code civil".

Deux propositions, un même objet

Cette initiative fait suite à une autre proposition de loi ayant exactement le même objet, déposée le 23 mai dernier au Sénat par Bruno Retailleau (UMP – Vendée). Les deux textes visent à insérer dans le code civil un article 1382-1 ainsi rédigé : "Tout fait quelconque de l'homme qui cause un dommage à l'environnement, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer. La réparation du dommage à l'environnement s'effectue prioritairement en nature".

http://www.senat.fr/leg/ppl11-546.html

Le 19 décembre dernier, la commission des lois du Sénat a nommé Alain Anziani (Soc. – Gironde) rapporteur de la proposition de loi de Bruno Retailleau, qui doit être discutée en séance publique le 31 janvier 2013.

Laurent Radisson © Tous droits réservés Actu-Environnement Reproduction interdite sauf accord de l'Éditeur ou établissement d'un lien préformaté [17624] / utilisation du flux d'actualité.


Sur les conséquences du “fracking” 


Lord Stern, auteur d’une étude commandée par le gouvernement sur le changement climatique [La "Stern Review" : l’économie du changement climatique SUR http://cms.unige.ch/isdd/spip.php?article165] qui est devenu l'ouvrage de référence pour les responsables politiques et les verts, dit qu'il a sous-estimé les risques et la menace qui pèsent sur l'économie de par la hausse des températures.  Dans une interview lors du Forum économique mondial de Davos, Nicholas Stern a déclaré: «Avec le recul, j'ai conscience d’avoir sous-estimé les risques de la planète car l'atmosphère semble absorber moins de carbone que prévu, et les émissions de GES sont en hausse. Certains des effets sont à venir plus rapidement que nous le pensions alors."
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Le rapport Stern, publié en 2006, avait alors  souligné une probabilité de 75% que les températures mondiales pourrait augmenter de 2 à 3°C au-dessus à long terme, mais il croit maintenant que nous sommes "sur la voie pour 4°C». S'il avait prévu la façon dont la situation allait évoluer, il pense qu’il aurait penché sur une hausse de quatre ou cinq degrés." Il a ajouté que certains pays, dont la Chine, ont commencé à saisir la gravité des risques, mais les gouvernements doivent maintenant agir avec force pour déplacer leurs économies vers des technologies plus durables et moins gourmandes en énergie. Jim Yong Kim, le nouveau président de la Banque mondiale, a donné aussi à Davos un sérieux avertissement sur les risques de conflits provenant des ressources naturelles en prévision d'une augmentation de la température de 4°C, notamment eu égard à l’eau et à l’alimentation. Il ajoute qu’il est nécessaire de créer un marché du carbone, d'éliminer les subventions aux combustibles fossiles et les «GES» des 100 mégapoles du monde, qui sont responsables de 60 à 70% des émissions mondiales. Il a ajouté que la sécheresse de 2012 aux États-Unis, qui fait monter le prix du blé et du maïs, a conduit à de mauvaises habitudes alimentaires dans le monde. Pour la première fois, le président de la banque mondiale a déclaré, que ces conditions météorologiques extrêmes ont été attribués au changement climatique d'origine humaine (anthropique). Il a conclu en disant qu'il n'y aurait pas de solution au changement climatique sans la participation du secteur privé. Par
Heather Stewart and Larry Elliott The Observer, Saturday 26 January 2013   Traduit par Danièle Favari


Brèves

Le 31 janvier 2013, l'OPECST (Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques) examinera l'étude de J.C Lenoir et C. Bataille sur les techniques alternatives à la #fracturationhydraulique à la suite de la saisine par le Sénat.

Bulgarie : Un référendum pour ou contre l'énergie nucléaire en Bulgarie a donné dimanche une large majorité aux partisans de l'atome. Mais il est invalide en raison d'une bien trop faible participation, selon deux instituts de sondages. Ainsi, d'après de premières estimations de deux instituts de sondages, à peine de 19,5% à 20,3% des 6,9 millions d'électeurs inscrits avaient voté à 19h00 locales (18h00 en Suisse), heure de clôture du scrutin, contre près de 60% à la même heure aux dernières élections législatives de juin 2009. Or, le résultat ne sera valide que si 4,35 millions de votants (environ 60%) se déplacent jusqu'aux urnes. Pour ce premier référendum de l'histoire post-communiste de la Bulgarie, les Bulgares votaient sur un projet bulgaro-russe de nouvelle centrale nucléaire à Béléné (nord), abandonné par le gouvernement en raison de son coût élevé: un peu plus de 60% des votants se sont prononcés pour le "oui", d'après deux instituts de sondages. Si au moins 20% des 6,9 millions d'électeurs votent et si plus de la moitié d'entre eux se prononcent pour l'énergie nucléaire, le Parlement est tenu d'examiner la question dans un délai de trois mois.

 

Abdul-Hamid-Zakri.JPG GIEC de la Biodiversité : Le biologiste malaisien Abdul Hamid Zakri a été désigné samedi président de l'IPBES, organe scientifique international récemment créé pour mieux comprendre et tenter d'enrayer le déclin de la biodiversité, a annoncé l'institution. La Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) a été créée officiellement l'an dernier pour être l'équivalent, pour la biodiversité, du Giec, le groupe d'experts de référence sur le changement climatique.


RÉFÉRENCES & LIENS :

http://www.actu-environnement.com/ae/news/prejudice-ecologique-inscription-code-civil-proposition-loi-17624.php4?_tmc=b9ZbXmLwVR2739waXl7KTDlEXSsyIYYdJY-RrA6ANN0#.UQTntCw2dQs.twitter

http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20130125trib000744945/gaz-de-schiste-l-ukraine-engage-le-duel-avec-moscou.html

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/service-distribution/actu/0202521419696-gaz-de-schiste-veolia-et-suez-en-lice-pour-un-contrat-geant-en-australie-531472.php

http://www.goodplanet.info/Contenu/Depeche/Gaz-de-schiste-l-Ukraine-et-Shell-signent-un-gros-contrat?utm_source=feedburner#.UQY3exrB-0k.twitter

http://www.laprovence.com/actu/politique-en-direct/gaz-de-schiste-avis-favorable-pour-gargas

http://www.guardian.co.uk/environment/2013/jan/27/nicholas-stern-climate-change-davos?CMP=twt_gu


©  tous droits réservés, danièle favari.

Reproduction interdite sauf accord de l’auteur, ou établissement d’un lien preformaté.

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https://twitter.com/#!/daniele_favari

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