N° 32 - NOUVELLES BREVES_9

Publié le par nongazdeschisteinfos

FRANCE-INTER.jpg14.12.2011 – 8.45 : Jean Louis Borloo persiste et signe : « ce n’est pas moi qui ai signé les permis. Lorsque je m’en suis aperçu, j’ai proposé une loi et je l’ai voté ». 


Selon l'Organisation météorologique mondiale, la concentration en dioxyde de carbone, méthane et protoxyde d'azote dans l'atmosphère n'a jamais été aussi élevée.

Les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère responsables du réchauffement climatique, n'ont jamais été aussi élevées. Malgré tous les discours et les mesures prises par les États elles continuent donc d'augmenter «pour atteindre un nouveau pic en 2010», souligne l'Organisation météorologique mondiale (OMM) dans son dernier bulletin(1). Des données qui n’étaient guère encourageantes à la veille de l'ouverture à Durban en Afrique du Sud de la dix septième conférence sur le climat à laquelle participent quelque 192 pays. Lors de la quinzième conférence qui se tenait à Copenhague, les pays participants se sont engagés à limiter le réchauffement climatique à 2°C. L'énergie solaire qui est réfléchie par la terre est en partie stoppée par les gaz à effet de serre. Plus leur concentration s'élève, plus l'atmosphère se réchauffe. Le dioxyde de carbone (CO2) est le gaz à effet de serre d'origine humaine le plus important. «Depuis le début de l'ère industrielle en 1750, sa teneur dans l'atmosphère a augmenté de 39% pour atteindre 389 parties par million (soit le nombre de molécules de gaz considéré par million de molécules d'air sec)», rappelle l'OMM.

concentration-CO2-atmosphere.jpgEn revanche, durant la dizaine de milliers d'années qui ont précédé la révolution industrielle, «la teneur dans l'atmosphère est restée pratiquement constante». Mais le dioxyde de carbone n'est pas le seul en cause. L'OMM pointe également deux autres gaz à effet de serre: le méthane et le protoxyde d'azote. Les émissions du protoxyde d'azote qui sont essentiellement dues à la combustion de la biomasse, à divers procédés industriels et à l'épandage d'azote ont également un effet destructeur sur la couche d'ozone.

«Même si nous parvenions à stopper aujourd'hui nos émissions de gaz à effet de serre, ce qui est loin d'être le cas, les gaz déjà présents dans l'atmosphère y subsisteraient encore pendant des dizaines d'années et continueraient de perturber le fragile équilibre de la terre, planète vivante, et du climat » précise Michel Jarraud, le secrétaire général de l'OMM. L'agence internationale de l'énergie (AIE) (2) s'attend pour sa part à une hausse de 20 % des émissions de dioxyde de carbone d'ici 2035. Selon elle, cela aboutirait à une trajectoire de hausse des températures de plus de 3,5° C. «La porte des 2° C» annoncée par la communauté internationale « est fermée » si les gouvernements n'engagent pas de nouvelles actions de réductions d'ici 2017 prévient l'AIE. À ce stade, les États n'en prennent pas le chemin.

(1)      Version provisoire de la Déclaration annuelle de l'OMMVersion provisoire de la Déclaration annuelle de l'OMM   

(2)       l’action de l’AIE se concentre sur 4 domaines :

  •  la sécurité énergétique : promouvoir la diversité, l’efficacité et la flexibilité dans tous les secteurs énergétiques ; 
  • le développement économique : assurer un approvisionnement stable en énergie pour les pays membres et promouvoir des zones de libre échange afin de favoriser la croissance économique et d’éliminer la pauvreté énergétique ;
  • la sensibilisation à l’environnement : faire connaître, au niveau international, les options existantes pour juguler le changement climatique
  • l’implication au niveau mondial : agir en concertation avec les pays non-membres, en particulier les principaux producteurs et consommateurs d’énergie, dans le but de trouver des solutions aux problèmes énergétiques et environnementaux communs

Dans un rapport publié vendredi, le GIEC analyse la vulnérabilité des pays face aux risques liés aux changements du climat.  

Cyclones et pluies torrentielles sous les tropiques, sécheresse en augmentation «au cours du XXIe siècle durant certaines saisons et dans certaines régions», poursuite de l'érosion des côtes et des inondations en raison «de la hausse du niveau de la mer», fonte des glaciers et disparition du permafrost (terre gelée en permanence) dans certaines régions de montagnes… Le dernier rapport du Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) consacré aux événements climatiques extrêmes ne se montre pas très optimiste sur les évolutions attendues au cours du siècle. L'Europe de l'Ouest pour sa part devrait être plus particulièrement concernée par les vagues de chaleur comme en 2003. Les chercheurs réunis à Kampala (Ouganda) ont compilé les milliers de publications se rapportant au sujet. Ils rappellent dans un document encore provisoire - le texte définitif doit être publié vendredi - que les changements climatiques dont le réchauffement des températures, «vont conduire à des changements dans la fréquence, l'intensité, la répartition géographique et la durée des événements climatiques extrêmes pouvant aboutir à une situation sans précédent». Au cours du siècle dernier, la température moyenne s'est accrue de 1°C. Selon différents scénarios, le Giec estime que les températures pourraient encore augmenter entre 1° et 3°C d'ici à 2050 et jusqu'à 5°C à la fin du siècle si rien n'est fait pour arrêter la hausse constante des émissions de gaz à effet de serre.

2011-11-22 Rapport special du GIEC 2011-11-22 Rapport special du GIEC

Pétition Soutien à Josh Fox,
classé terroriste au USA

J’ai déjà lu la pétition  Soutien à Josh Fox, classé terroriste au USA pour « Department of Homeland Security » (ministère de l’Intérieur américain, et je désire signer cette pétition : http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2011N8084


 L’Union européenne a démontré son leadership à Durban. Elle doit maintenant tenir le cap après le sommet en renforçant et consolidant son ambition climatique. De sa détermination dépend non seulement la prospérité des Européens, mais aussi la possibilité d’une transition de l’économie mondiale vers une économie faible en carbone. L’UE peut consolider son avantage comparatif écologique. Il est incontestable qu’elle possède le pouvoir par effet d’influence et d’entraînement de peser sur les politiques écologiques des autres pays de la planète. Elle a prouvé, en imposant son « package feuille de route » volontariste/prolongation du protocole de Kyoto/fonds vert, aux côtés des pays les moins avancés et des états insulaires, qu’elle pouvait être forte et exister politiquement lorsqu’elle agit unie et porte d'une seule et même voix une perspective d’avenir.

  sandrine bélier

Par Sandrine Bélier, eurodéputée européen

A contrario, les conclusions du sommet de Bruxelles ignorent l'urgence climatique/environnementale et l’opportunité d’un nouveau développement économique, créateur de millions de nouveaux emplois. L’UE renoncerait à son avantage comparatif écologique et à se libérer du piège des énergies fossiles. Alors que de passer d’un objectif de 20% de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2020 à un objectif de 30% permettrait notamment de créer 6 millions de nouveaux emplois et d'apporter des bénéfices majeurs en matière de santé à nos concitoyens. Un tel objectif permettrait en outre de réduire de 40 milliards annuels nos importations de pétrole et de gaz, et de faire de notre industrie l'un des leaders internationaux en matière de Green Tech. Enfin, une stratégie économique faible en carbone est un levier pour relancer des pans entiers de notre industrie, comme la sidérurgie, violemment touchée dans le Nord-Est de la France, au Luxembourg ou en Belgique, via l'activité «éolienne». A titre de dernier exemple, faut-il encore rappeler qu'au cours de ces dix dernières années, ce sont déjà plus de 300.000 emplois que l'Allemagne a su créer dans les énergies renouvelables. Un chiffre qui devrait encore s'accentuer avec la sortie du nucléaire. (voir déclarations de Mme MERKEL plus loin)

Le projet européen est nécessaire !

A la différence de Durban, où l’Union a affiché une cohésion politique pour 27, le sommet de Bruxelles, laissé aux seuls chefs d'Etats et de gouvernements, nous prive d'une UE visionnaire, ouverte, innovante et solidaire. C'est de cette Europe, celle-là même que nous avons vu en action à Durban, unie entre toutes ses composantes (Conseil-Commission-Parlement), dont nous avons aujourd'hui besoin. Aujourd'hui ce n'est pas de trop d'Europe dont nous souffrons mais d’une Europe intergouvernementale qui a peur de devenir une Europe fédérale, une Europe politique. La réalité est que nous ne pourrons sortir d’une triple crise environnementale, économique et sociale qu'en adoptant un projet européen, négocié avec l'ensemble des composantes politiques, économiques et civiles de l'Union. L’Europe a besoin de s’unir dans sa diversité sociale et institutionnelle et de s'accorder sur des solutions durables.

La transition écologique et la lutte contre le dérèglement climatique peuvent non seulement sauver la planète et assurer des conditions de vie acceptables pour tous, mais elle pourrait aussi et surtout sauver l’Europe en lui redonnant un horizon politique, démocratique et économique.


Le Point.fr - Publié le 13/12/2011 à 15:25 - Modifié le 13/12/2011 à 15:26

La chancelière allemande s'est exprimé après l'annonce du plan social sans précédent d'Areva. 

La chancelière Angela Merkel a assuré mardi que l'abandon accéléré de l'énergie nucléaire en Allemagne créerait plus d'emplois qu'il n'en détruirait, alors que les annonces de plans sociaux dans ce secteur se multiplient, le dernier en date venant du français Areva. "Au final, la nouvelle politique énergétique va créer plus d'emplois qu'elle n'en fera perdre", a dit Angela Merkel lors d'une conférence de presse. Elle a jugé que les suppressions d'emplois récemment annoncées par plusieurs poids lourds du secteur étaient "des décisions d'entreprises" mais qu'elles relevaient "d'évolutions de long terme et non d'une seule cause", en l'occurrence l'abandon du nucléaire. Suite à la catastrophe de Fukushima, le gouvernement allemand a décidé en mars de condamner immédiatement les huit plus vieux réacteurs du pays et de fermer de manière accélérée les neuf restants d'ici 2022. Cette décision a été avancée par les deux principaux producteurs d'énergie allemands, EON et RWE, pour expliquer de drastiques restructurations. EON veut supprimer jusqu'à 11 000 emplois dans le monde, et selon la presse le chiffre chez RWE pourrait se monter à 8 000. Toutefois, les deux groupes sont aussi aux prises avec des problèmes plus larges de rentabilité dans leurs centrales conventionnelles (gaz et charbon), ainsi que dans leurs filiales à l'étranger. L'Allemagne est également très affectée par le plan social sans précédent lancé par le groupe nucléaire français Areva, qui va supprimer jusqu'à 1 500 emplois dans le pays.

LE FIGARO – AREVA :  2011 12 14 LesEchos Areva Eramet 2011 12 14 LesEchos Areva Eramet

 

Une nouvelle exploitation de pétrole dans le golfe du Mexique, par LeMonde.fr avec AFP | LeMonde.fr – 14 décembre 2011

Les Etats-Unis vont ouvrir une nouvelle zone de 85 000 km2 dans le golfe du Mexique à l'exploitation d'hydrocarbures, a indiqué mardi la Maison Blanche, assurant que cette mesure permettrait d'augmenter l'indépendance énergétique du pays de façon 'responsable'. Le secrétaire à l'intérieur Ken Salazar doit se rendre mercredi à La Nouvelle-Orléans, en Louisiane, pour participer à 'une vente de licences d'exploitation de plus de 21 millions d'acres' (85 000 km2) dans le golfe du Mexique, l'une des principales zones de production de pétrole aux Etats-Unis.

Selon la Maison Blanche, cette vente s'inscrit dans le cadre de mesures annoncées par le président Barack Obama en mai 2011 dans le but 'd'augmenter la production nationale de gaz et de pétrole de façon sûre et responsable' et de réduire la dépendance des Etats-Unis vis-à-vis des hydrocarbures importés. De même source, l'administration Obama espère que la nouvelle zone ouverte à l'exploitation recèle jusqu'à 423 millions de barils de pétrole et 75 milliards de m3 de gaz naturel.

LE SOUVENIR DE DEEPWATER HORIZON

La stratégie de l'administration Obama destinée à assurer une indépendance énergétique accrue via la mise en valeur des gisements d'hydrocarbures avait été entravée au printemps 2010 par la pire marée noire de l'histoire récente des Etats-Unis, consécutive à l'explosion de la plate-forme Deepwater Horizon dans le golfe du Mexique en avril.

La Maison Blanche assure que des mesures de sécurité renforcées ont depuis été mises en place, permettant d'approuver 97 licences d'exploitation dans les zones côtières et 211 en eaux profondes dans cette région.


TOTALa donc déposé un recours contentieux devant le Tribunal Administratif de PARIS, par fax, ce 12 décembre 2011. L'affaire n'étant pas encore enrôlée, je n'ai pu obtenir le numéro de rôle afin de faire enregistrer ma requête en intervention volontaire dont je vous livre la primeur ci-joint :

REQUETE POUR INTERVENTION VOLONTAIRE REQUETE POUR INTERVENTION VOLONTAIRE


De la réforme du code minier

Le 13/12/2011, a eu lieu une réunion du Conseil National du Développement Durable et du Grenelle de l'Environnement (CNDDGE) qui s'est concentrée sur la réforme du code minier. L'année 2011 a en effet été marquée par d'intenses débats sur les gaz et pétroles non conventionnels (ou gaz et huiles de schistes) qui ont mis en lumière les insuffisances du droit minier français, totalement archaïque et ne prenant que très mal en compte les enjeux de protection de l'environnement.
Une réforme indispensable
La Fondation pour la Nature & l’Homme accueille positivement ce projet de réforme, car le Code minier actuel ne prend pas assez bien en compte les enjeux de protection de l'environnement. Cela a été mis en évidence par la question des gaz de schistes, où les techniques d'exploitation utilisées, et notamment la fracturation hydraulique, met en péril les nappes phréatiques et l'environnement. Mais il est néanmoins indispensable de mettre à jour le code minier, qui n'a presque pas été actualisé depuis 1956, afin de mieux prendre en compte les enjeux environnementaux du 21e siècle, et en particulier la protection de la biodiversité. En effet, les activités minières, dans le domaine de l'énergie ou de la production de granulats, sels et autres minerais génèrent des perturbations souvent lourdes sur leur environnement immédiat : destruction d'écosystèmes, consommation d'eau, diffusion de produits toxiques... Si des règles existent déjà, elles méritent d'être renforcées, d'être plus lisibles et mieux respectées.
Une réflexion qui ne doit pas s'arrêter en chemin
L'abrogation des permis de recherche pour les gaz de schiste et l'interdiction de fracturation hydraulique est une très bonne nouvelle pour les défenseurs de l'environnement. Cependant, en méditerranée comme en Guyane, plusieurs projets d'exploration et d'exploitation d'hydrocarbures ont depuis vu le jour. Ces forages en eau profonde font peser des risques importants sur des écosystèmes fragiles, comme les zones de reproduction des tortues en Guyane, ou les espaces protégés comme le parc national de Port Cros en méditerranée. On a vu, en 2010, les conséquences désastreuses sur l'environnement de la fuite de la plateforme pétrolière de BP (DEEP WATER) dans le golfe du Mexique. Les dégâts se chiffrent en milliards de dollars, et l'impact est dévastateur, aussi bien pour la biodiversité que pour les activités humaines comme la pêche ou encore le tourisme.
Faut-il toujours creuser plus profond, sans savoir gérer les fuites en cas d'incident, pour exploiter des ressources naturelles dont la consommation induit une croissance des émissions de GES incompatible avec la lutte contre le changement climatique ?


cycle co2-vignette La réforme du code minier est donc un important pas en avant, mais ne doit pas occulter un deuxième débat, celui de nos modes de production et de consommation. Avant même de se poser la question des impacts environnementaux de l'exploitation des mines, il est indispensable de s'interroger sur l'opportunité de les exploiter. Les ressources minières sont par définition non renouvelables. La modération de leur consommation, qui passe notamment par l'efficacité énergétique, la sobriété, et une évolution de leur consommation sont donc indispensables, surtout quand ces ressources n'ont pas de substitut possible. Il est toujours préférable, pour protéger l'environnement, de limiter au maximum notre consommation, avant de se lancer dans leur exploitation. Certains pays, comme l'équateur, se pose déjà la question de laisser le pétrole sous le sol, au lieu de l'exploiter, à la fois pour protéger la forêt tropicale, mais aussi pour ne pas contribuer au phénomène du changement climatique. La France doit aussi se poser cette question, quand on sait que la planète dispose de ressources en énergies fossiles largement supérieures à ce qu'il faudrait pour provoquer un réchauffement climatique irréversible, aux conséquences dramatiques, aussi bien pour la Nature que pour les Hommes.

Ndlr : des coupures ont été pratiquées dans l’article car elles révélaient des inexactitudes dans le « timing » de ladite réforme.

 OGIB Banner

Via Chantal VIALA : TOREADOR RESOURCES TOREADOR RESOURCES 

 


MANIFESTANT.jpg

  Le manifestant, élu « personnalité de l’année » selon le TIMES.


La hausse des prix a encore accéléré en novembre

PARIS (Reuters) - Les prix à la consommation en France ont augmenté de 0,3% en novembre (2011) par rapport au mois d'octobre, une nouvelle fois tirés par l'accélération des prix de l'énergie et de l'alimentation, faisant monter l'inflation sur un an à 2,5%, montrent les statistiques publiées mardi par l'Insee.

et le prix du gaz en France augmentera bien de 4,4% au 1er janvier 2012

Reuters – le 13 décembre 2011

le ministre de l'Energie Eric Besson l’avait annoncé dans un communiqué, mettant fin au suspense qui durait depuis l'invalidation par le Conseil d'Etat du gel des tarifs de GDF Suez décidé en octobre. C’est officiel : + 4,4% au 1er janvier 2012.  LE PRIX DU GAZ

Cependant que la rémunération des patrons a bondi de 17 % en Europe 13.12.2011 - Selon une étude du cabinet d'analyse financière Alphavalue , reprise par le quotidien LE FIGARO , la rémunération moyenne des patrons européens a grimpé de 17 % en 2010 par rapport à 2009. AlphaValue constate ainsi une hausse de 225 % de la rémunération. Le secteur minier, avec un bond de 156 % des revenus, a également profité du développement des pays émergents. Les banquiers restent cependant en tête.  Pourtant, les banques françaises ont perdu de 100 milliards de dépôts. En effet, selon des données Banque de France, "les clients et investisseurs étrangers ont retiré plus de 98 milliards de dépôts à court terme des banques françaises en septembre."


 logo-assemblee-nationale

Mardi 13 décembre en fin de journée, la commission des affaires étrangères a adopté, à l'unanimité, le rapport de la mission d’information présidée par Lionnel Luca sur la géopolitique de l’eau, présenté par Jean Glavany, rapporteur. Ce rapport sera prochainement mis en ligne.

Mercredi 14 décembre vers 10h, la commission du développement durable auditionne François Loos, dont la nomination en qualité de président de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) est envisagée par le Président de la République, puis vote sur cette nomination.

Jeudi 15 décembre à 11h45, Claude Birraux, président de la mission de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques, Bruno Sido, sénateur et  Christian Bataille, député, rapporteurs, présentent à la presse le rapport final de la mission sur la sécurité nucléaire, la place de la filière et son avenir.


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