RHONE MARITIME - OFF SHORE

Publié le par nongazdeschisteinfos

Le Président réaffirme http://www.appoc.fr/saint-raphael-rejet-du-permis-rhone-maritime

DERNIERE MINUTE : M. Sarkozy a annoncé qu'il refusait les éoliennes dans le Mont Saint-Michel, les forages pétroliers devant les Calanques. Mme Kosciusko-Morizet explique que l'annonce signifie le non renouvellement du permis d'exploitation dit Melrose.

http://elysee.blog.lemonde.fr/2012/04/06/sarkozy-personne-nimposera-sa-volonte-au-peuple-de-france/

et merci et bravo à M. Denis Lieppe, Président des Amis du Parc National des Amis de Port Cros qui n’est pas étranger à cette victoire.

http://www.appoc.fr/content/le-pr-sident-de-la-r-publique-annonce-le-rejet-du-renouvellement-du-permis-rh-ne-maritime

Alors, fêtez ça ce dimanche 8 AVRIL à la Seyne sur Mer.bregancon - 8 AVRIL



Ce matin, GREENPEACE était passé à l'action !

 

Forages en Méditerranée : en action !

Ce matin, des militants de Greenpeace ont suspendu une banderole indiquant Forages : touche pas à ma mer ! sur Notre-Dame de la Garde à Marseille, cette basilique symbole de la ville, protectrice des marins.
Par cette action, Greenpeace demande aux pouvoirs publics de rejeter la demande déposée par les sociétés Melrose et Noble Energy de renouveler leur permis exploratoire les autorisant à procéder à des forages profonds en mer, à 24 km au large de Marseille, pour rechercher des hydrocarbures liquides et gazeux. notre dame de la garde 2Tous  les signaux sont au rouge

À commencer par l’actualité récente … Total n’ayant toujours pas réussi à colmater la fuite de gaz sur sa plateforme d’Elgin, alors que celle-ci est présentée par Total comme une référence mondiale en matière de sécurité et que ce forage est situé en mer du Nord, une zone exploitée depuis longtemps.
Personne ne peut garantir l’absence d’incident grave sur une plateforme de forage …où qu’il soit … Et dans le cas du projet au large de Marseille, la zone de forage se trouve à 30 km du projet de parc national des Calanques et à proximité immédiate du sanctuaire de Pelagos, un vaste espace maritime dédié à la protection des mammifères marins.

Le gouvernement français a jusqu’au 11 avril pour annoncer sa décision sur ce dossier. 


 

La Mobilisation pour le Trafalgar des pétroliers est maintenue (je pense) : "Trafalgar des pétroliers"

 

  La Seyne et Brégançon : grande manifestation le 8 avril contre l’exploration d’hydrocarbures dans le Var.

Une date, deux rassemblements sur deux sites différents.

Ce dimanche 8 avril, les défenseurs de l’environnement et les citoyens de tous horizons mettent le paquet contre l’exploration d’hydrocarbures dans le Var et en Méditerranée. L’actualité en Mer du Nord, avec la fuite du gaz sur une plate-forme de Total, ne fait que leur donner raison.

Deux permis sont mis en cause : celui de Brignoles, qui couvre les trois-quarts du département, et le permis « Rhône-Maritime », et ses explorations pétrolières en eau profonde à moins de 30 km des côtes d’une mer Méditerranée fermée et fragile. Deux permis délivrés dans la plus grande opacité et qui soulèvent une vague de contestation sans précédent. Alors que l’on arrive aux leurs dates de renouvellement (le 11 avril pour le permis Rhône-Maritime et autour du 30 avril pour le permis de Brignoles), le Collectif 83 Non aux gaz de schiste ainsi que le collectif Littoral organiseront ce dimanche le « Trafalgar des pétroliers » à La Seyne et Brégançon pour rassembler tous ceux qui « refusent de voir la Méditerranée et le Var saccagés par les industriels apprentis sorciers ».

Ils viendront de tout le département, mais aussi de Corse, d’autres régions de France encore. Une journée revendicative, mais festive, qui dépasse les seules limites du département. 

TRAFALGAR DES PETROLIERSRassemblement à 11h00 au Parc de la Navale.

A partir de 11h00, un grand rassemblement se déroulera au Parc de la Navale de La Seyne, dont la municipalité accueille l’évènement. Au programme : de 11h00 à 13h30, pique-nique et restauration, notamment grâce à la participation des pêcheurs et aquaculteurs seynois. Tout au long de l’après-midi, les actions et prises de paroles se multiplieront. De 13h30 à 14h30 : fresque humaine, sur terre avec une bouée humaine autour d’une carte de France géante qui représentera tous les permis d’exploration de gaz de schiste et de pétrole qui existent en France. « Ils seront tous jetés symboliquement et détruits dans une poubelle. Nous commencerons par le permis de Château-Thierry et nous terminerons par ceux de Brignoles et du Rhône Maritime », explique Michel Berthelot du collectif 83. Dans le même temps, en mer, un défilé des pêcheurs et aquaculteurs aura lieu.

Coordination nationale gaz de schiste.

De 14h30 à 16h00 : prise de parole sur le podium, notamment avec la présence des représentants de la coordination nationale des collectifs contre le gaz de schiste qui se sera tenue la veille à Aups, puis des collectifs varois créés contre les deux permis, ainsi que des représentants du Département et de la Région (représentée hier pour la présentation de l’événement), et des maires varois. « A ce jour, en ce qui concerne le permis de Brignoles, 90 maires ont pris des arrêtés municipaux interdisant l’utilisation de l’eau pour la fracturation de la roche », se félicite Michel Berthelot. L’après-midi se terminera par un concert jusqu’à 18h00.

Flottille maritime attendue au fort de Brégançon.

Mais dans le même, le collectif Littoral organisera un rassemblement maritime autour du fort de Brégançon. Le rendez-vous est donné à 10h00 sur la plage de l’Argentière à Bormes pour le rassemblement des kayakistes, randonneurs et cyclistes, suivi à 12h00 d’un pique-nique sur la plage de Cabasson. Enfin à 14h00, tous ceux qui le désirent sont invités par les organisateurs à former une grande flottille en cordon autour du fort de Brégançon. L’image veut être forte.« Tous les collectifs du littoral qui se mobilisent contre le projet de plate-forme de forage au large de nos côtes sont invités à se mobiliser dimanche. La flottille fera un cordon autour du fort en signe de protection de ce morceau de République contre une marée noire. Nous serons reliés avec La Seyne par un cordon ombilicale : les participants témoigneront par radio ou téléphone en direct », explique William Grandory, du collectif non aux hydrocarbures de Hyères. ont annoncés notamment les navires de Greenpeace, WWF ou encore Sea Shepherd, mais aussi des grands noms de la plaisance.

« Les collectifs se montent à une rapidité folle. Que ce soit contre le permis maritime ou le celui de Brignoles, les deux combats se rejoignent », déclare pour sa part Denise Reverdito (Europe écologie-les Verts). Le sujet est évidemment politique. Le Parti de gauche, le PS, Europe Ecologie les Verts (Eva Joly serait annoncée), mais aussi Attac ou encore des associations telles que Toulon@venir appellent à la mobilisation. Rendez-vous est donc pris pour ce dimanche. G. DE SAINT VULFRAN 

http://www.lamarseillaise.fr/var/mobilisation-pour-le-trafalgar-des-petroliers-26323.html


 

Les écologistes en colère

le 06/04/2012 à 05:00

Les écologistes exigent davantage de sûreté dans les installations pétrolières en mer.

Greenpeace, qui a envoyé lundi un bateau faire des tests à proximité de la plateforme d’Elgin, théâtre d’une fuite de gaz, a affirmé qu’il y avait « beaucoup de pétrole » sur la mer du Nord à cause de ce « grave accident », ce que conteste Total. Alors que le groupe pétrolier français prépare son plan d’action pour tenter d’arrêter la fuite, le Koenigin Juliana a passé la journée de lundi à la limite de la zone d’exclusion de 3,7 km instaurée autour de la plateforme en raison des risques d’explosion. Greenpeace a mis un canot à l’eau pour effectuer des prélèvements et mesurer l’impact de la fuite sur l’environnement. « Nous sommes au milieu d’une nappe irisée huileuse. Il y a une grande quantité de pétrole sur l’eau. Il y en a partout. Cela fait plusieurs kilomètres de long », a assuré Christian Bussau, un des experts de l’organisation. « C’est vraiment un accident grave. Total doit immédiatement commencer à boucher la fuite ou la pollution ne s’arrêtera pas », a-t-il ajouté, précisant toutefois que les prélèvements allaient être transmis à un laboratoire pour déterminer exactement « ce qu’était cette irisation ».

D’après le photographe de l’AFP présent à bord, une légère odeur de gaz est perceptible dans cette zone et une irisation est visible sur les vagues.

Total a pour sa part démenti la présence de pétrole : il s’agit d’ « un condensat léger de gaz, qui ne pose pas de risque significatif » pour l’écosystème, a déclaré une porte-parole.

Même si le site laisse toujours échapper environ 200 000 m³ de gaz par jour, Total affirme que « l’impact sur l’environnement » est « relativement négligeable ».

Les écologistes estiment que l’Union européenne doit se doter de règles plus strictes en matière de sécurité des plateformes pétrolières et gazières.« Bien que jugé à ce stade « minime » quant à son impact sur l’environnement, ce nouvel accident conforte la position des écologistes de vouloir « faire adopter un cadre réglementaire européen plus sévère pour ces activités à hauts risques », a réagi Sandrine Bélier, députée européenne EELV.

Elle a rappelé, dans un communiqué, qu’« avec ses 500 plateformes, la mer du Nord est aujourd’hui l’une des zones les plus exposées en Europe à la pollution des grandes industries d’extraction et d’exploration pétrolière et gazière », et que le Parlement européen avait appelé en octobre au renforcement des règles. L’association Robin des Bois relève pour sa part que, deux ans après l’accident de la plateforme Deepwater Horizon de BP, dans le Golfe du Mexique, les cadres de Total « tiennent le même discours » et montrent « la même impuissance ».

http://www.lalsace.fr/actualite/2012/04/06/les-ecologistes-en-colere


Fuite d'Elgin, le forage de puits de dérivation peut débuter : 

GREENPEACE EGLIN

Pollution  |  Aujourd'hui à 16h00  |  Actu-Environnement.com

L'équipe d'experts de Total a finalement pu gagner la plate-forme d'Elgin (en mer du Nord) hier, jeudi 5 avril pour une mission de reconnaissance. Détectée le 25 février, la fuite sur la tête de puits G4 de production de gaz laisserait échapper 200 000 m3 de gaz par jour, selon Total. Samedi, la torchère brûlant le gaz résiduel s'est naturellement éteint. Jusqu'alors, elle rendait impossible – en raison des risques d'explosion - l'accès à la plateforme. Sur place, les spécialistes ont pu dresser un premier état des lieux de la zone de la fuite et définir des zones d'accès sécurisées. L'équipe a également examiné la possibilité d'acheminer des flexibles et de mettre en place des points de raccordement pour les équipements d'intervention. Deux opérations sont en effet prévues pour tenter de colmater la fuite : l'une passe par l'injection de boues à haute densité et l'autre le forage de deux puits de dérivation. Ces derniers permettraient de soulager la pression du gaz et l'injection de boues. Cette opération pourrait durer jusqu'à 6 mois.

Dorothée Laperche © Tous droits réservés Actu-Environnement Reproduction interdite sauf accord de l'Éditeur ou établissement d'un lien préformaté [15393] / utilisation du flux d'actualité


Le bilan carbone de la fuite d’Elgin

Le 06 avril 2012 par Valéry Laramée de Tannenberg

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Le nuage de gaz autour d'Elgin en infrarouge.
A l’heure où les sauveteurs traquent, à leurs risques et périls, la fuite d’Elgin, la question peut paraître saugrenue. Quel est le bilan carbone de l’incident qui prive Total de 2,5 millions de dollars (1,9 million d'euros) de recettes par jour  ? Si l’on se réfère aux déclarations de Patrick de la Chevardière, directeur financier du groupe, la plate-forme accidentée relâche environ 200.000 mètres cubes de gaz naturel par jour: de quoi permettre à une centaine de familles de subvenir à leurs besoins énergétiques pendant un an! Ce gaz naturel est majoritairement composé de méthane, gaz dont le pouvoir de réchauffement global (PRG) est 25 fois supérieur à celui du gaz carbonique. Total n’a pas encore déterminé la solution technique qui lui permettra de colmater la fuite de gaz. Mais l’option du forage d’un puits de secours semble tenir la corde. Sa mise en œuvre pourrait prendre 6 mois, estime-t-on chez le pétrogazier. En prenant cette hypothèse, on estime que 200.000 m3 de gaz naturel contiennent une centaine de tonnes de méthane, soit 2.500 tonnes équivalent CO2. Si la fuite dure le temps d’un semestre, Elgin aura relâché dans l’atmosphère près de 500.000 tonnes de gaz carbonique. Soit environ 1% des émissions annuelles du groupe Total, mais un peu moins que ce que le PNAQ a alloué à la plateforme 535 858 quotas pour 2011.

http://www.journaldelenvironnement.net/article/le-bilan-carbone-de-la-fuite-d-elgin,28433


 

MAIS LE OFF-SHORE, c’est aussi l’éolien

INFO LE FIGARO : EDF, associé à Alstom, remporte trois des cinq lots du contrat géant pour l'installation d'éoliennes offshore au large des côtes françaises. L'espagnol Iberdrola, allié à Areva, en gagne un.

EDF remporte trois champs éoliens offshore

Par Frédéric De Monicault Mis à jour le 05/04/2012 à 21:00 | publié le 05/04/2012 à 19:45 Réactions (37)

CHAMP-EOLIEN-OFF-SHORE.jpg

 

Après plusieurs jours de discussions serrées, le gouvernement a rendu son verdict dans l'appel d'offres géant de l'éolien offshore. Cinq champs étaient concernés au large des côtes françaises: EDF est le grand gagnant puisqu'il se voit attribuer trois des sites, à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), Courseulles-sur-Mer (Calvados) et Fécamp (Seine-Maritime). L'électricien tricolore est associé pour l'occasion à Alstom, qui a présenté voici quinze jours à Saint-Nazaire son prototype d'éolienne offshore, d'une capacité de six mégawatts (MW). Le quatrième champ, celui de Saint-Brieuc, est attribué à l'énergéticien espagnol Iberdrola, l'un des spécialistes mondiaux des énergies renouvelables. Aux côtés d'Iberdrola, le français Areva, leader mondial du nucléaire, dispose lui aussi d'une solide expertise dans l'éolien offshore avec plusieurs machines qui fonctionnent en mer du Nord. En revanche, l'un des autres géants français de l'énergie, GDF Suez, n'est retenu pour aucun champ. Pour le cinquième site, celui du Tréport, l'appel d'offres est déclaré infructueux. L'allemand Siemens, associé avec GDF Suez pour le champ de Saint-Brieuc, se retrouve également écarté de l'éolien offshore en France.Dans son rapport consacré à l'examen des candidatures, la Commission de régulation de l'énergie (CRE) avait établi un classement - à partir des critères du cahier des charges - qui donnait quatre sites sur cinq à EDF. Jeudi après-midi, la CRE a examiné la proposition du gouvernement et a rendu un avis. Celui-ci sera publié en même temps que l'officialisation de la décision du gouvernement, attendue vendredi.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/04/05/20002-20120405ARTFIG00960-edf-emporte-trois-champs-eoliens-offshore.php

http://www.usinenouvelle.com/article/eolien-offshore-trois-sites-pour-edf-un-pour-areva-rien-pour-gdf-suez.N172359?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+a-la-une+%28Usine+nouvelle+-+A+la+une%29#xtor=RSS-215

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/0201996092178-total-envoie-des-experts-sur-sa-plateforme-d-elgin-310000.php


LOGO FRANCE CULTURE

Pourtant, le gaz de schiste, ça continue, alors :

Faut-il faire l'impasse sur le gaz de schiste en France ?FRANCE CULTURE MARCELLUS SHALEémission du 206.04.2012 - 14:00 

Une exploitation de gaz de schistes sur le gisement de Marcellus en Pennsylvanie (USA) ©DR

Exploité depuis une vingtaine d’années surtout aux Etats-Unis, le gaz de schiste a fait sont entrée récemment et bruyamment dans le débat public en France. Contrairement à celui qui est contenu dans des poches souterraines, ce gaz naturel provenant de la matière organique décomposée est piégé dans des roches poreuses. Il est donc beaucoup plus difficile de l’extraire. Pour y parvenir, la technologie la plus utilisée est celle de du forage horizontal ou vertical associé à la fracturation hydraulique. Cette technique consiste à injecter de l’eau sous haute pression à partir du puits afin de provoquer des microfissures dans la roche et de libérer ainsi le gaz qu’elle contient. De nombreux additifs sont introduits dans les quantités importantes d’eau utilisées pour la fracturation : sable, biocides, détergents et lubrifiants. Outre la multiplication des puits de forage, c’est le recours à cette fracturation hydraulique qui soulève le plus de critiques car elle présente des risques de pollution des nappes phréatiques. Sans parler des fuites de gaz dans l’atmosphère et des risques de tremblements de terre..

FRANCE CULTURE GISEMENT MONDIAUXCarte des gisements connus de gaz de schistes dans le monde ©EIA

Face à l’impact du gaz de schiste sur l’économie américaine et aux ressources importantes détectées dans de nombreux pays comme la Pologne en Europe, la France s’interroge. Tout le problème est de déterminer si le jeu en vaut la chandelle. Pour cela, il faut répondre à deux questions : Les ressources du sous-sol français en gaz de schiste, mal évaluées pour l’instant, sont-elles suffisantes pour être exploitées ? Les techniques d’extraction peuvent-elles être perfectionnées pour éviter les pollutions environnementales. Pour l’instant, la situation semble bloquée en France depuis l’abrogation, en octobre 2011, de trois permis de recherche de gaz de schiste.

FRANCE-CULTURE-FRACKING.jpg

La fracturation hydraulique ©DR

 


Les questions :

La Commission nationale d'orientation, de suivi et d'évaluation des techniques d'exploration et d'exploitation des hydrocarbures liquides et gazeux, crée en juillet 2011, a remis son rapport en février 2012. Que préconisent les experts qui en sont les auteurs ? L’exploitation du gaz de schistes induit-elle des risques avérés de pollution des nappes phréatiques et de déclenchement de tremblement de terre ? Comment la France peut-elle sortir du blocage actuel sur les gaz de schistes, blocage qui ressemble à celui qui existe sur les OGM puisqu’il conteste même les recherches dans ce domaine, ce qui apparaît en opposition avec le principe de précaution ? Le savoir faire français en matière d’exploitation pétrolière peut-il être un atout et conduire à la mise au point de techniques non polluantes pour l’extraction des gaz de schistes ?

Une coopération européenne dans ce domaine ne serait-elle pas bienvenue ?


Les invités :

Christophe Didier, directeur adjoint des risques sols et sous-sol de l’Institut national de l’environnement et des risques (INERIS). 

Max Falque, délégué général de l’ICREI (Centre International de recherche sur les problèmes environnementaux),

François Kalaydjian, directeur adjoint du Centre de résultats Ressources d'IFPen,

Romain Porcheron, chargé de campagne sur la responsabilité sociale et environnementale de l’entreprise pour les Amis de la Terre 


 

LE PODCAST

http://www.franceculture.fr/emission-science-publique-faut-il-faire-l-impasse-sur-le-gaz-de-schiste-en-france-2012-04-06


e.mail : nongazdeschisteinfos@gmail.com 

twitter : https://www.twitter.com/NonGDSinfos 

Traduction, analyse et commentaires, tous droits reservés : danièle favari (veille juridique des GDS)

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