Et si Gasland s'était trompé ?

Publié le par nongazdeschisteinfos

STO-FRACK_NY-DC_28-juillet-2012.jpgDans sa décision finale, l’ EPA (United States Environnement Protection Agency) a déclaré (pour la 4ème fois) que l’eau de Dimock était salubre.  Eh bien, on vous le dit et on le répète. L'eau dans Dimock est sûre, à déclaré l’EPA à la société Cabot Oil and Gas, en Pennsylvanie Les derniers résultats de l’EPA correspond à sa précédente recommandation : l’eau de Dimock est bonne à boire, et ne constitue pas une menace pour la santé humaine, et ne nécessite aucune action supplémentaire. Le communiqué parle de lui-même de sorte que nous l’avons reproduit dans son intégralité ci-dessous. Avec cette dernière annonce, il semble que l’EPA ne partage le point de vue et que les justiciables sont maintenant à court d'options.
PHILADELPHIE (Juillet 25, 2012) - L'Agence américaine de protection de l'environnement a annoncé aujourd'hui qu'elle a terminé son échantillonnage des puits privés d'eau potable dans Dimock, Pa. Selon les données précédemment fournies à l'agence par les résidents. Le Pennsylvania Department of Environmental Protection et Cabot Oil et Gas Exploration avaient indiqué un potentiel de niveaux élevés de contaminants de l'eau dans les puits, et à la suite de demandes des résidents, l’EPA avait  pris des échantillons d'eau dans la région pour s'assurer qu'il n'y avait pas des niveaux élevés de contaminants. Basé sur les résultats de l'échantillonnage, l'EPA a déterminé qu'il n'y a pas de contaminants présents qui nécessiteraient une action supplémentaire par l'Agence. "Notre objectif était de fournir à la communauté de Dimock des informations complètes et fiables sur la présence de contaminants dans l'eau potable et de déterminer si d'autres mesures était justifiée pour protéger la santé publique», a déclaré l'administrateur régional de l’EPA, Shawn M. Garvin. "L'échantillonnage et une évaluation des circonstances particulières à chaque foyer n'a pas indiqué de niveaux de contaminanation qui donneraient raison à l'EPA pour prendre des mesures supplémentaires. Tout au long de son travail à Dimock, l'EPA a utilisé les meilleurs données scientifiques disponibles pour donner le plus de clarté aux résidents afin de répondre à leurs préoccupations au sujet de la salubrité de leur eau potable. " L’EPA a visité Dimock, en Pennsylvanie à la fin 2011, les résidents ont été interrogés au sujet de leurs puits privés. Parce que les données pour certaines maisons ont montré des niveaux élevés de contaminants et plusieurs résidents ont exprimé leur préoccupation au sujet de leur eau potable, l'EPA a déterminé que l'échantillonnage t était nécessaire pour recueillir des données supplémentaires et d'évaluer si les résidents ont accès ou non à l'eau potable. Entre Janvier et Juin 2012, l'EPA prélevé des échantillons sur de nombreux puits privés desservant 64 maisons, y compris  là où l'EPA avait installé une prestation d'approvisionnement en eau temporaire comme  mesure de précaution en réponse à des données antérieures indiquant que l’eau contenait des contaminants qui posaient un problème de santé. A l'un d’eux, l’EPA a trouvé un taux élevé de manganèse dans l'eau de puits non traitée. Les deux résidences desservies ont chacune été équipée de systèmes de traitement de l'eau qui peuvent réduire le manganèse à des niveaux qui ne présentent pas un problème de santé.  En conséquence, selon l'échantillonnage de ces quatre puits, l'EPA a déterminé qu'il n'est plus nécessaire de fournir aux résidents de l'eau de remplacement. L’EPA travaille avec les résidents sur le calendrier pour les déconnecter des autres sources d'eau fournis par l'EPA.  Globalement, au cours de l'échantillonnage dans Dimock, l'EPA a constaté des substances dangereuses, en particulier l'arsenic, le baryum ou le manganèse, qui sont tous également les substances présentes naturellement dans l'eau à des niveaux bien moindre que ceux qui pourraient présenter un problème de santé. Dans tous les cas, les résidents ont maintenant ou auront leurs propres systèmes de traitement qui peuvent réduire les concentrations de ces substances dangereuses à des niveaux acceptables au robinet. L'EPA a transmis aux résidents  l'ensemble des résultats de l'échantillonnage et n'a pas d'autres projets pour mener d'autres échantillons d'eau potable dans Dimock.

2012 July 25, by JD Krohn

For more information on the results of sampling, visit: http://www.epa.gov/aboutepa/states/pa.html .

à lire sur Arretsurimages.net (payant) 27/07/2012 à 10h16

Et ça, c'est quoi alors ?EAU-DE-DIMOCK.jpg


Le reportage pro-gaz de schistes était financé par Total

Dans les médias, les arguments en faveur de l’exploitation des gaz de schistes réapparaissent. Mercredi 25 juillet, Le Monde appelait à la reprise des débats sur le sujet et publiait un reportage – financé par Total sans que cela soit révélé aux lecteurs – aux bénéfices économiques de leur exploitation. Le lendemain, le journal dénonçait les conflits d’intérêts autour d’une étude qui concluait à la non-dangerosité de cette source d’énergie. « Selon plusieurs sources interrogées par @si, la question divise sérieusement la rédaction du quotidien. »


L'article incriminé : "N'enterrons pas le débat sur les gaz de schiste

LE MONDE | 25.07.2012 à 14h35 • Mis à jour le 25.07.2012 à 15h09

http://www.lemonde.fr/a-la-une/article/2012/07/25/n-enterrons-pas-le-debat-sur-les-gaz-de-schiste_1738035_3208.html


 

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Shell s'attend à quelques résultats intéressants de forages dans les 6 prochains mois, en #Guyane française par exemple, a déclaré son n° 2. 


Samedi 20 octobre 2012 au Palais des congrès - Royan

Les Entretiens de Royan | Les gaz de schiste: principe de précaution ou bataille de principes?

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Chaque année depuis plus de 15 ans, les « Entretiens de Royan » auparavant dénommés« Entretiens de Saintes » rassemblent des spécialistes confirmés et un public de passionnés autour d'un thème de fond qui marque l'actualité juridique et sociétale française. Ces entretiens annuels sont l'occasion de rencontrer des professionnels du droit, mais aussi des industriels, des universitaires, philosophes, hommes d'entreprise... qui débattent sur un sujet d'actualité.

Pour les 5 années à venir, les Entretiens de Royan vont confronter tour à tour les énergies au principe de précaution. Objectifs européens en matière d’énergie : sécurité d’approvisionnement, indépendance énergétique, augmentation du renouvelable, objectif des 3 fois 20,… Ces mesures sont au cœur des préoccupations nationales et européennes, mais malgré des objectifs clairement affirmés la vigilance reste de mise, comme en témoignent les mesures prises sur les gaz de schiste par la France qui sera le premier sujet traité cette année. Entre intérêt économique et risque environnemental, l’arbitrage n’est pas évident.


Total voit des opportunités dans l'exploration d'hydrocarbures en Birmanie, avec pour plaider en leur faveur : le prix Nobel de la Paix Aung San Suu Kyi  Aung_San_Suu_Kyi_17_November_2011.jpg PARIS - (AFP) - Total compte s'appuyer sur sa présence en Birmanie pour y saisir des opportunités dans l'exploration d'hydrocarbures, après les réformes démocratiques engagées dans le pays, a affirmé vendredi son directeur financier, Patrick de la Chevardière.  "La Birmanie offre un potentiel dans l'exploration. Evidemment, nous nous y intéressons. Notre longue présence et notre bonne image dans le pays, y compris au sein de la population, est un atout pour nous", a-t-il déclaré lors d'une conférence téléphonique sur les résultats semestriels du groupe.  "Nous continuerons à développer nos activités et étudier d'autres opportunités dans ce pays", a-t-il ajouté.  Total est présent en Birmanie depuis 1992, sur le champ gazier de Yadana qui alimente notamment des centrales électriques en Thaïlande.

La présence du groupe dans le pays a été vivement critiquée par le passé, certaines ONG de défense des droits de l'Homme ayant reproché au groupe français d'enrichir la junte qui était au pouvoir jusqu'à l'an dernier.  TOTAL a cependant toujours défendu sa présence en Birmanie, affirmant qu'elle contribuait au développement du pays et que s'en retirer ne servirait pas les droits de l'Homme et la démocratie.  Et, à la faveur de l'ouverture démocratique à l'oeuvre en Birmanie, le groupe s'est dit prêt à y développer ses activités. M. de Margerie s'est rendu dans le pays en juin, tandis que l'opposante birmane Aung San Suu Kyi s'est elle-même montrée ouverte à cette idée lors de sa récente visite en Europe, disant vouloir "donner à tous l'occasion d'investir" en Birmanie.

© AFP 30/07/2012 10:30 am © AFP/Archives Michele Cooper

http://www.goodplanet.info/Contenu/Depeche/Total-voit-des-opportunites-dans-l-exploration-d-hydrocarbures-en-Birmanie 


 conseil-constitutionnel Saisi de plusieurs Questions prioritaires de constitutionnalité, le Conseil constitutionnel a censuré des dispositions du code de l’environnement (livres II et IV) qu’il a jugées non conformes à l’obligation de participation du public, telle qu’elle est prévue à l’article 7 de la Charte de l’environnement.  Ces décisions ne sont pas une surprise puisqu’elles prolongent deux précédentes décisions allant dans le même sens et censurant des dispositions du livre V.
Le Conseil constitutionnel conforte ainsi le droit à l’information et surtout à la participation du public dans le processus d’élaboration de toutes les décisions, réglementaires et individuelles, ayant un impact sur l’environnement.
Dès l’annonce de la précédente décision, le 13 juillet dernier, Delphine BATHO avait demandé que soient élaborées sans délai des dispositions législatives assurant la mise en conformité de l’ensemble du code de l’environnement avec l’article 7 de la Charte de l’environnement. Ce travail aboutira à un projet de loi prêt à être soumis au Conseil d’Etat à la fin du mois de septembre. Il permettra d'assurer la conformité du code de l’environnement à la Constitution dans les délais attendus par le Conseil Constitutionnel. Il permettra également de renforcer l'information et la participation des citoyens et d'assurer la sécurité juridique de toutes les décisions.

Décision n° 2012-269 QPC du 27 juillet 2012
Union Départementale pour la Sauvegarde de la Vie, de la Nature et de l'Environnement et autres [Dérogations aux mesures de préservation du patrimoine biologique et principe de participation du public]

Le Conseil constitutionnel a été saisi le 8 juin 2012 par le Conseil d'État (décision n° 357337 du 4 juin 2012), dans les conditions prévues à l'article 61-1 de la Constitution, d'une question prioritaire de constitutionnalité posée par les associations « Union Départementale pour la Sauvegarde de la Vie, de la Nature et de l'Environnement », « Amoureux du Levant Naturiste » et « G. Cooper-Jardiniers de la mer », relative à la conformité aux droits et libertés que la Constitution garantit du 4° de l'article L. 411-2 du code de l'environnement.
 Article 1er. - Le 4° de l'article L. 411-2 du code de l'environnement est contraire à la Constitution.
Article 2. - La déclaration d'inconstitutionnalité de l'article 1er prend effet le 1er septembre 2013 dans les conditions fixées au considérant 8.
Article 3.- La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française et notifiée dans les conditions prévues à l'article 23-11 de l'ordonnance du 7 novembre 1958 susvisée.
Délibéré par le Conseil constitutionnel dans sa séance du 26 juillet 2012, où siégeaient : M. Jean-Louis DEBRÉ, Président, M. Jacques BARROT, Mme Claire BAZY MALAURIE, MM. Guy CANIVET, Michel CHARASSE, Renaud DENOIX de SAINT MARC, Hubert HAENEL et Pierre STEINMETZ.

http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/les-decisions/acces-par-date/decisions-depuis-1959/2012/2012-269-qpc/decision-n-2012-269-qpc-du-27-juillet-2012.115380.html

Suite à cette décision, Delphine BATHO annonce un projet de loi sur la participation du public.


L'Amérique latine face au défi des hydrocarbures non conventionnels

Créé le 27-07-2012 à 09h45 - Mis à jour à 09h45 tourism-in-neuquen-argentina.jpg

Comme l'Europe ou l'Amérique du Nord, l'Amérique latine fait face au défi de l'exploitation des hydrocarbures non conventionnels, pour lesquels manquent toutefois un cadre réglementaire et environnemental, selon des responsables du secteur réunis en Uruguay. Avec 23% des réserves mondiales de brut et 4% du gaz naturel, l'Amérique latine et les Caraïbes sont riches en énergies fossiles, mais celles-ci se concentrent dans un petit nombre de pays, la majorité demeurant dépendant des importations, explique Nestor Luna, directeur des études et projets de l'Organisation latino-américaine de l'énergie (Olade). Un séminaire sur les perspectives énergétiques de la région s'est tenu mercredi et jeudi à Montevideo, en présence notamment de représentants de 17 pays et institutions, d'entreprises du secteur des hydrocarbures et de l'Olade, organisme fondé en 1973 regroupant 27 pays latino-américains.

La majorité des réserves de pétrole et de gaz se trouvent au Venezuela (qui selon l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) dispose des plus importantes réserves de brut au monde), qui avec le Mexique et le Brésil totalise 78% de l'offre régionale d'énergie, selon M. Luna.  Mais le développement économique de la région dépendant de la disponibilité en énergies fossiles et leur coût élevé affectant les pays importateurs, les hydrocarbures tels que le pétrole extra-lourd, le bitume naturel, les sables bitumeux, les gaz ou les huiles de schiste présentent un intérêt nouveau.  Il s'agit cependant d'hydrocabures dont l'extraction nécessite de nouvelles technologies, dont certaines sont très contestées au niveau environnemental. Neuquen_Argentina_2.jpg

L'Argentine est le premier pays de la zone à avoir commencé à exploiter du gaz non conventionnel, dans la province de Neuquen (centre-ouest).  Avec le Mexique et le Brésil, il s'agit du pays disposant des plus importantes réserves techniquement récupérables de ce gaz. Mais d'autres pays bénéficient d'un certain potentiel, comme la Colombie, l'Uruguay, le Chili ou le Paraguay.  Ces ressources sont particulièrement précieuses "pour les pays qui n'avaient pas accès à l'exploitation de pétrole et de gaz et qui avec ces nouvelles technologies commencent à y accéder", estime de son côté le ministre uruguayen de l'Industrie et de l'énergie, Roberto Kreimerman.  Toutefois, les coûts d'exploitation de ces hydrocarbures sont plus élevés et leur rentabilité "pourrait être marginale", tempère Nestor Luna. Pour lui, il revient à chaque pays "de soupeser s'il est rentable de commencer à exploiter (un hydrocarbure) non conventionnel".

Dans le domaine du gaz, notamment, "les marges peuvent ne pas atteindre ce qu'attend une entreprise mais peuvent servir malgré tout à un pays qui cherche une durabilité énergétique, pour compléter un bouquet", poursuit-il.  L'Agence internationale de l'énergie a calculé que la prise en compte du gaz non conventionnel a permis d'augmenter les réserves mondiales à 920 milliards de mètres cubes, selon M. Luna. Pour lui, si un pays parie sur les ressources non conventionnelles, "il doit mettre en place un cadre réglementaire approprié pour profiter au maximum des ressources". Il appelle également à être "très prudent" sur l'aspect environnemental.  René Ortiz, ex-secrétaire général de l'Opep estime aussi que "le grand défi" pour l'industrie est de "produire des hydrocarbures en garantissant le respect de l'environnement". Selon l'Olade, la principale préoccupation provient de l'exploitation des gaz de schiste par fracturation hydraulique, technique très gourmande en eau et en produits toxiques.

http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/nature-environnement/20120727.AFP4115/l-amerique-latine-face-au-defi-des-hydrocarbures-non-conventionnels.html

2012_london.jpg Londres 2012 : les sponsors brouillent l'image de Jeux Olympiques "verts"

Le choix comme sponsors officiels d'entreprises particulièrement mal vues des défenseurs de l'environnement. C'est le cas du chimiste Dow Chemicals (qui semble marqué à jamais par le dramatique accident de son usine de Bhopal en Inde en 1984) ou de BP (plus connu pour la marée noire du Golfe du Mexique ou son implication dans l'exploitation de schistes bitumineux en Alaska). Jusqu'aux médailles, fabriquées par le géant de l'exploitation minière Rio Tinto, régulièrement mis en cause sur l'environnement ou les droits de l'homme.

Dernier scandale en date, l'annonce ce mardi, sur le site officiel des JO, que la flamme olympique serait portée jeudi dans les quartiers londoniens de Kensington et Chelsea par Lakshmi Mittal, propriétaire d'ArcelorMittal, et son fils.

http://www.latribune.fr/green-business/l-actualite/20120724trib000710674/londres-2012-les-sponsors-brouillent-l-image-de-jeux-olympiques-verts.html


BRÈVES
Des manifestants anti-pollution font plier les autorités dans l'est de la Chine

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http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2012/07/28/des-manifestants-anti-pollution-font-plier-les-autorites-dans-l-est-de-la-chine_1739557_3216.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter#xtor=RSS-3208001


Lourd revers financier pour BP dans le conflit avec TNK-BP

Le géant pétrolier britannique BP a été condamné vendredi en Russie à verser 3,1 milliards de dollars à un actionnaire minoritaire de la coentreprise TNK-BP dans le cadre d'un litige sur un projet, finalement abandonné, d'exploration de gisements dans l'Arctique.

Le tribunal d'arbitrage de Tioumen (Sibérie) a donné satisfaction à la requête de l'actionnaire Andreï Prokhorov en lui accordant 100,3 milliards de roubles de dommages-intérêts (3,1 milliards de dollars), a indiqué l'avocat du demandeur, Dmitri Tchepourenko.

http://www.lemonde.fr/europe/article/2012/07/27/lourd-revers-financier-pour-bp-dans-le-conflit-avec-tnk-bp_1739311_3214.html 


Terres rares : la Malaisie va accueillir une usine géante

Terres-rares2.jpg Une commission de parlementaires malaisiens a approuvé mardi une unité de traitement de terres rares, que le groupe minier australien Lynas est en train de construire, en dépit des inquiétudes de la population sur les risques pour la santé et l'environnement. La commission, forte de sept députés la plupart acquis au gouvernement, a recommandé l'octroi au groupe Lynas d'une licence d'exploitation de terres rares importées d'Australie dans son unité en construction dans l'est de la Malaisie.


 Japon: les antinucléaires cernent le Parlement

 

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Comme toutes les semaines depuis des mois, des Japonais sont venus par milliers à Tokyo pour dire non au nucléaire. Cette fois en organisant une chaîne humaine autour du Parlement japonais, symboliquement cerné dimanche soir pendant une heure. Publié le 29 juillet 2012 à 08h07 | Mis à jour le 29 juillet 2012 à 11h46


Espagne : manifestations d'écologistes contre une réforme de la loi littoral

Des militants écologistes espagnols sensibilisent les promeneurs au projet de réforme de la loi littoral, le 28 juillet 2012 sur une plage de Barcelone © AFP Josep Lago

BARCELONE (Espagne) - (AFP) - "Pour une côte sans béton": comme à Barcelone, des groupes d'écologistes ont manifesté sur plusieurs plages d'Espagne samedi contre le projet de réforme de la loi littoral qui menace, selon eux, l'environnement.

Plus de 200 organisations avaient appelé à une "journée d'action pour la défense du littoral" dont Greenpeace, le WWF (fonds mondial pour la nature), Ecologistes en Action, les Amis de la Terre ou encore BirdLife, dans le cadre d'une plateforme. 30/07/2012 10:23 am

http://www.goodplanet.info/Contenu/Depeche/Espagne-manifestations-d-ecologistes-contre-une-reforme-de-la-loi-littoral 


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