On va chercher du pétrole !

Publié le par nongazdeschisteinfos

Prolongation pour 4 ans du "Permis de Lavignolle" à Marex, Maurel & Prom pour du pétrole (département 33)

 La modification d'un permis de recherche d'hydrocarbures en Gironde a reçu un feu vert ministériel, ce qui va permettre au groupe pétrochimique indien Indorama d'entrer dans l'exploration pétrolière en France, a rapporté mercredi le Bulletin de l'industrie pétrolière (BIP). La ministre de l'Ecologie et de l'énergie, Delphine Batho, a signé le 1er mars la prolongation pour quatre ans et la mutation (modification des détenteurs) du permis dit de Lavignolle, a affirmé le quotidien spécialisé, dans son édition de mercredi.Une  telle décision, qui doit faire l'objet d'une publication au Journal officiel, n'a pas été officialisée pour le moment. Ce permis, qui couvre plus de 200 km2 en Gironde, avait été accordé initialement en 2002 au groupe pétrolier texan Marex, auquel s'était joint en 2004 la compagnie française Maurel et Prom. Comme le rappelle le BIP, Indorama est un groupe pétrochimique indien fondé en 1976 et dirigé par Sri Prakash Lohia, fils du fondateur de la société et par ailleurs beau-frère du magnat de l'acier Lakshmi Mittal. Selon les demandes de prolongation et de mutation concernant ce permis, adressées en 2010 au ministère de l'Ecologie et mis en ligne par ce dernier, Indorama n'exerce pas encore en France, mais a lancé un vaste programme d'acquisitions de permis et licences d'hydrocarbures liquides ou gazeux dans plusieurs pays, et ce afin de pouvoir devenir également un acteur dans le secteur de l'amont, c'est-à-dire l'exploration-production d'hydrocarbures. Par ailleurs, cette prolongation de permis, si elle est confirmée, mettrait fin au blocage administratif des demandes d'attribution ou modification de permis d'exploration et de production d'hydrocarbures, que dénonçait le secteur pétrolier depuis le début de l'année. L'Union française des industries pétrolières (Ufip), la fédération du secteur, avait affirmé début février que 120 demandes d'attribution ou modifications de permis d'hydrocarbures étaient bloquées par l'administration, au risque selon les industriels d'étouffer toute une activité. (©AFP / 06 mars 2013 15h11)


GASLAND II


Bulgarie : une ONG exige la révocation du moratoire empêchant l’extraction et l’exploitation du gaz de schiste

BULGARIE 14.1.2012L’organisation non gouvernementale, Energy Independence Movement, en lutte pour l’indépendance énergétique en Bulgarie, a interpellé le cabinet du premier ministre démissionnaire Boyko Borisov et le GERB, le parti politique centre-droit, pour la révocation du moratoire adopté en 2012 et  interdisant l’exploration et l’extraction du gaz de schiste après les manifestations. Selon Dimitar Ivanov, président de l’ONG, le GERB peut lever l’interdiction avant les élections du 12 mai. Ce serait du moins, «  une décision pertinente ». A ses yeux il n'y a aucun doute : avec l’avènement du schiste, le monde est en train de vivre une « nouvelle guerre froide » dans la mesure où la nouvelle technologie permettant l’extraction du gaz de schiste a réduit les prix du gaz naturel aux Etats-Unis tandis que la Russie – première exportatrice mondiale de gaz naturel conventionnel - s’y oppose farouchement. Il ajoute que «  les protestations contre le gaz de schiste en Bulgarie ont été orchestrées par des personnes ayant un intérêt personnel à ce que la Bulgarie demeure dépendante en matière énergétique».   Poursuivant, il a indiqué que ces organisations avaient déjà protesté l’an passé contre le gaz de schiste indépendamment de toute considération environnemental et avaient par la même entraîné la chute du cabinet ministériel de Borisov : «  Ce sont les mêmes personnes qui ont élevé la voix contre le gaz de schiste que l’on retrouve au premier rang des protestations. C’est pourquoi le gouvernement et la majorité parlementaire n’a rien à perdre et peut agir avant le vote afin de donner le feu vert à cette ressource qui peut garantir notre indépendance énergétique ».

Hristo Kazandzhiev, un ancien directeur du directorat des ressources naturelles au ministère de l’économie bulgare, a estimé que si le pays commençait à extraire du gaz de schiste, il réduirait sa facture d’électricité de moitié. A son sens, il n’y a pas un seul cas dans le monde qui permette d’avérer que l’extraction du gaz naturel par le biais de la fracturation hydraulique a mené à une contamination irréversible de la nature. Rédigé par romain | Le 05 mars 2013 à 12:41


Les gaz de schiste et de houille en Europe

Qu’est-ce que le gaz de schiste ? Le gaz de houille ?

repartition-des-surfaces-equivalentes ee3137cd7cc0210e672dfEn Flandre, une demande d’autorisation pour un permis d’exploration du gaz de houille a été soumise au gouvernement flamand, par Limburgse Reconversie Maatschappij (LRM,, une agence d’investissement du gouvernement flamand). Avec DART Energy, une entreprise Australienne, elle dispose d’un budget de 10 millions d’euros pour évaluer la rentabilité d’extraire le gaz de houille. Pour les Amis de la Terre, la réponse est clairement NON ! Nous ne voulons pas d’une nouvelle génération de gaz non conventionnel, nous voulons des énergies renouvelables gérées par la communauté. Pas besoin de faire des tests coûteux, nous savons déjà que, d’après les expériences aux États-Unis et en Australie, ce type d’extraction a des conséquences graves pour l’environnement et la santé publique. Nous n’en voulons pas - Stop Steenkoolgas ! www.stopsteenkoolgas.be.

Gaz d’houille, gaz de schiste, ça devient compliqué ! C’est du gaz sois-disant « naturel », c’est juste qu’il se trouve dans des couches géologiques différentes (couche de charbon, rocher de schiste) et qu’il faut des techniques nouvelles et controversées pour l’extraire. Celles-ci sont à peu près pareilles dans les deux cas, forages profonds verticaux et horizontaux, suivi du fracking, sauf que pour le gaz de charbon le fracking n’est pas toujours nécessaire (mais il faut par contre extraire des quantités énormes d’eau très polluée pour faire sortir le gaz). Mis en ligne: mardi 5 mars 2013 Si vous regardez une carte de la Belgique, les réserves des deux se trouvent à peu près partout :

Infographie provenant du rapport "Golden rules for a golden age of gas" 

Mais cela ne veut pas dire que toutes ces réserves sont accessibles ou rentables. Au contraire, ce sont des estimations du géologiquement possible dans le meilleur des cas.

Plus d’infos sur www.stopsteenkoolgas.be


Le système énergétique de la France parmi les meilleurs du monde

La France arrive au troisième rang d'un classement réalisé par Accenture. Le nucléaire lui permet d'afficher de bons scores en matière de développement durable. On aurait pu penser que la France, en retard dans l'éolien ou le solaire, ferait figure de mauvais élève au classement des meilleurs systèmes énergétiques mondiaux. Mais c'est tout le contraire. L'Hexagone figure au troisième rang du premier palmarès établi sur la question par le Forum économique mondial, dans le cadre d'une étude réalisée en collaboration avec Accenture. La France se place derrière la Norvège et la Suède, et devant les 102 autres pays étudiés.

«  Il s'agit de mesurer les forces et les faiblesses des différents pays pour faire face à la transition énergétique nécessaire, de la façon la plus objective possible », indique Jean-Marc Ollagnier, directeur général en charge de l'énergie chez Accenture. «  Nous avons pour cela utilisé trois critères : l'accès à l'énergie, le développement durable, et la compétitivité énergétique. » L'accès à l'énergie recouvre la sécurité d'approvisionnement, la dépendance énergétique, ou encore le taux d'électrification. Le critère de développement durable comprend les émissions de CO et de particules polluantes, la consommation des véhicules, ou la part d'énergie décarbonée dans le mix. Enfin pour mesurer la compétitivité énergétique, Accenture a étudié la consommation d'énergie nécessaire pour un point de croissance du PIB, le prix de l'électricité pour les industriels, les distorsions liées à la fiscalité, ou encore la facture énergétique. Sans surprise, c'est le poids du nucléaire dans le mix énergétique français qui explique le bon classement de l'Hexagone. Notre pays se situe même au deuxième rang mondial sur le critère de développement durable, derrière la Suède. «  La France est l'un des pays développés où les émissions de CO sont les plus faibles », indique Jean-Marc Ollagnier. Les énergies décarbonées représentent 51 % de l'énergie primaire utilisée en France, dont 42 % liées au nucléaire. Ce taux monte à 90 % pour la seule production d'électricité : selon le bilan établi par RTE (Réseau de Transport d'Electricité) pour 2012, celle-ci provient à 75 % du nucléaire, à 11,8 % de l'hydraulique, à 2,8 % de l'éolien et à 0,7 % du solaire photovoltaïque.

La compétitivité énergétique insuffisante : Mais le nucléaire n'est pas le seul point fort de l'Hexagone. «  La France est également bien placée sur l'efficacité énergétique, grâce à sa politique en matière de bâtiments ou de transport par exemple », poursuit Jean-Marc Ollagnier. La consommation moyenne des voitures particulières s'élève à 7,4 litres pour 100 kilomètres, plaçant la France au 20 e rang mondial sur ce critère. A l'inverse, le pays n'est pas très bien classé sur le critère de la compétitivité énergétique. En particulier, le niveau élevé des taxes sur les produits pétroliers, qui nuit aux mécanismes de marché, le pénalise. Plus généralement, les pays nordiques doivent leur bonne position à leur politique en matière d'efficacité énergétique. «  Ils sont très en avance dans ce domaine », affirme Jean-Marc Ollagnier. La Norvège, premier du classement, bénéficie aussi de l'abondance et de la variété de ses ressources : hydrocarbures en mer du Nord mais aussi hydroélectricité (95 % de la production d'électricité).

Les autres grands pays européens ne sont pas mal classés : l'Espagne se place au 9 e rang, le Royaume-Uni au 10 e rang, l'Allemagne au 14 e rang. Les Etats-Unis en revanche tombent au 55 e rang, pénalisés par leur efficacité énergétique insuffisante, et leur faible utilisation d'énergies décarbonées (16 % de l'énergie primaire). Les pays émergents enfin ne sont généralement pas bien notés, en raison de l'accession souvent réduite de leur population à l'énergie et de leur piètre efficacité énergétique. Anne Feitz, Journaliste afeitz@lesechos.fr Par Anne Feitz | 06/03 /2013


La transition énergétique en plein débat !

Des débats sont organisés jusqu’à avril sur les territoires régionaux, associant les régions et les grandes agglomérations. En effet, c’est notamment au niveau des territoires, que peuvent se gérer les questions de sobriété énergétique et d’exploitation des ressources renouvelables. L’un des enjeux majeurs de ce grand débat national est la décentralisation énergétique au plus près des ressources. From www.neo-planete.com - Today, 11:09 AM


Gina McCarthy Pour son second mandat, le Président américain Barack Obama a nommé lundi 4 mars Gina McCarthy pour diriger l'Agence de protection de l'environnement (EPA), notamment responsable de la régulation des émissions polluantes. Mme McCarthy était jusqu'ici responsable de la qualité de l'air à l'EPA et viendrait remplacer Lisa Jackson à ce poste. Barack Obama a également chargé Mme McCarthy de la lutte contre le réchauffement climatique via des mesures réglementaires et normes plus sévères en matières d'émissions. Mais elle devra faire face à l'hostilité d'une partie du camp républicain, après l'échec d'un ensemble législatif sur l'énergie au Congrès au début de sa présidence. Le Président américain a également nommé le physicien Ernest Moniz pour diriger le département de l'énergie, et remplacer Steven Chu. M. Moniz, ancien adjoint du détenteur de ce portefeuille sous la présidence de Bill Clinton, détient une chaire au Massachusetts Institute of Technology, rappelle l'AFP.

Les deux nominations devront être encore entérinées par le Sénat, où les républicains disposent d'une minorité de blocage. Rachida Boughriet © Tous droits réservés Actu-Environnement Reproduction interdite sauf accord de l'Éditeur ou établissement d'un lien préformaté [17970] / utilisation du flux d'actualité.


Venezuela : Chavez laisse une économie droguée au pétrole

Le président défunt du Venezuela, Hugo Chavez, laisse une économie dépendante d'une seule ressource, son or noir.

Le pétrole représente plus de 90 % des devises du Venezuela, 94 % des exportations et la moitié du budget de l'État. Il n'a jamais pesé autant dans l'économie. Le président Hugo Chavez, décédé ce mardi, avait pourtant promis en prenant la tête du pays de sortir du «tout pétrole». Pendant plus d'une décennie, il a puisé dans cette manne - soutenue par des cours mondiaux en hausse - en renforçant l'emprise de l'État sur la compagnie publique PDVSA et en limitant l'exercice des compagnies étrangères. Ses détracteurs lui reprochent d'avoir utilisé ces ressources à des fins politiques pour mener sa révolution bolivarienne. Le leader de gauche a investi massivement dans des programmes sociaux avec des résultats probants sur le niveau de pauvreté et la réduction des inégalités. Selon les indices internationaux, le Venezuela affiche le taux d'inégalité le plus faible d'Amérique latine et Chavez se targue d'avoir le salaire minimum le plus élevé du sous-continent. Sauf que cette politique s'est faite au détriment d'investissements industriels et d'une nécessaire diversification. «Le Venezuela, c'est le syndrome de la maladie hollandaise, résume le chercheur Julien Rebotier, de l'université de Pau. Il n'y a pas eu d'effort de réorientation de l'appareil productif tandis que le secteur pétrolier souffre de sous-investissement en recherche et exploration. En matière sociale, il répond à l'urgence sans stratégie d'avenir.»

venezuela petrole

PDVSA investit un tiers de son chiffre d'affaires dans les actions sociales. Après la grève insurrectionnelle de 2002 - véritable tentative de coup d'État contre la mainmise de Chavez -, près de 20.000 personnes ont été licenciées. «Aujourd'hui, l'entreprise manque de savoir-faire et de compétences», ajoute le chercheur. Pire, les installations sont vieillissantes comme en témoignent les coupures récurrentes d'électricité et, plus grave, une très forte explosion fin août dans la raffinerie d'Amuay, qui a fait 42 morts. Avec une production de 2,7 millions de barils par jour, en baisse depuis 2005, le Venezuela ne figure plus dans le top 10 mondial. Et Caracas, en vertu d'accords avec ses alliés politiques, Cuba et l'Équateur, est contraint d'importer du pétrole raffiné. «L'État subventionne sa diplomatie. Il achète de l'essence au prix du marché et vend au prix vénézuélien, moins cher que l'eau minérale», relève Julien Rebotier. Le «tout pétrole» a d'autres effets collatéraux d'une dépendance totale aux importations. Le pays achète tout ou presque pour sa consommation courante à l'étranger. Chavez n'a trouvé aucun remède. Au mieux, il s'est efforcé de réduire la dépendance commerciale aux États-Unis au profit de la Chine et du Brésil. L'entrée dans le Mercosur, le grand marché commun d'Amérique latine, concrétise cette stratégie. L'autre mal qui ronge le pays, c'est l'inflation, à plus de 28 %, que compensent en partie les hausses de salaire. «Le modèle est fragile et pas soutenable», résume Jean-Igor Michaux, économiste de Natixis. Par Anne Cheyvialle


DIESEL CANCEROGENEAucune décision sur le diesel en 2013, affirme Arnaud Montebourg

Aucune décision n'est prévue en 2013 sur la fiscalité du diesel et une éventuelle prime à la casse, a déclaré mardi Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif.  "Nous n'aurons pas de décision en 2013", a-t-il dit à des journalistes lors du salon automobile de Genève. La publication vendredi dernier d'un rapport de la Cour des comptes critiquant l'avantage fiscal dont bénéficie le diesel a rouvert le débat sur le rééquilibrage du parc automobile français, diésélisé à 60%. "C'est le rôle de la Cour des comptes de rechercher des recettes supplémentaires (...) mais la Cour des comptes n'est pas le gouvernement", a commenté Arnaud Montebourg. Interrogé sur l'éventualité d'une prime à la casse pour les anciens moteurs diesel, il a répondu : "Il n'y a rien en 2013".

(Reuters, Gilles Guillaume)


Quand Montebourg défend le droit de polluer français

Prendre soin de la santé des citoyens ou garantir les bénéfices des leaders français du secteur automobile ? Face à ce choix cornélien, Arnaud Montebourg n’hésite pas une seconde : il faut sauver les constructeurs de voitures ! Il faut « trouver une formule qui n’attaque pas le diesel, car attaquer le diesel c’est attaquer le made in France », assure-t-il le 3 mars [1]. Le ministre du Redressement productif a ensuite déclaré, depuis le salon de l’automobile de Genève, que le gouvernement ne prendrait pas de décision en 2013 sur une prime de conversion du parc automobile français, constitué à 60% de moteurs diesel. A croire qu’il a prêté attention aux propos de Carlos Ghosn, le PDG de Renault, qui s’interrogeait, lui aussi à Genève : « Au moment où l’Europe s’enfonce dans une crise, est-ce vraiment le moment de réduire la compétitivité du diesel en changeant les règles ? » Le PDG de Renault affirmait dans la foulée ne pas y être favorable, précisant qu’au final « ce sera aux gouvernements de trancher ». Trop aimable. Encouragés par des incitations fiscales depuis 30 ans, les constructeurs automobiles français se sont spécialisés dans la technologie diesel. Et les consommateurs y ont trouvé leur compte : un litre moins cher car moins taxé et une consommation moindre que celle de l’essence. Le diesel, c’est 80% du carburant consommé dans l’Hexagone en 2012. Les voitures diesel représentent 72% des nouvelles immatriculations françaises et la moitié de la production automobile de PSA, numéro deux mondial dans le domaine, après Volkswagen. L’autre géant français, Renault, expédie de nombreux moteurs diesel chez Nissan et Mercedes. Un rapport de la Cour des comptes, dévoilé la semaine dernière par le quotidien Libération, révèlent que la fiscalité avantageuse dont bénéficie le diesel représente un manque à gagner de près de 7 milliards d’euros par an à l’État !

arnaud-montebourg-ministre-du-redressement-productif 535048Diesel : « Le sujet santé est derrière nous »...

Mauvais pour les finances publiques, le gazole l’est aussi pour la santé. Les moteurs diesel figurent parmi les principaux émetteurs de particules fines (avec l’industrie et le chauffage au bois), pouvant causer des cancers du poumon ainsi que des pathologies respiratoires et cardiovasculaires ou des allergies. En juin dernier, le centre international de recherche sur le cancer (CIRC) a classé le carburant dans la catégorie des « cancérogènes certains ». Et appelé à une réduction de l’exposition des populations à ce mélange chimique dans le monde entier.

Cette déclaration n’a pas vraiment ému les constructeurs. « Depuis 2011, les normes font que tous les diesels ont un filtre particule, ce qui fait que le sujet santé est derrière nous », tente de rassurer le directeur des marques de PSA Peugeot Citroën, Frédéric Saint-Geours. Pour lui, le diesel est une « motorisation d’avenir ». Pour Carlos Ghosn, le débat lancé par le gouvernement est essentiellement guidé par des préoccupations financières. « Les gouvernements ont des déficits et doivent trouver de l’argent et ils regardent la moindre opportunité de le faire », a-t-il ainsi déclaré. Rien à voir avec son business...Par Nolwenn Weiler (6 mars 2013

[1] Il était l’invité du Grand rendez-vous Europe1- i>TELE - Le Parisien-Aujourd’hui en France.


A VOIR ou REVOIR SUR ARTE : Le monde après Fukushima, un documentaire de Kenichi Watanabe

http://www.arte.tv/fr/le-monde-apres-fukushima/7359740.html

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REPRISE DES TRAVAUX PARLEMENTAIRES : Assemblée Nationale et Sénat, le 11 mars 2013

 #SENAT : 2ème lecture de la proposition de loi sur la protection des lanceurs d'alerte : 3 avril 2013_14 : 30


http://www.legazdeschiste.fr/debat-et-reglementation/05032013,bulgarie-une-ong-exige-la-revocation-du-moratoire-empechant-l-extraction-et-l-exploitation-du-gaz-de-schiste,492.html 

http://www.bastamag.net/article2965.html

http://www.amisdelaterre.be/spip.php?article1731

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/0202623610112-le-systeme-energetique-de-la-france-parmi-les-meilleurs-du-monde-544479.php 

http://www.lefigaro.fr/international/2012/10/08/01003-20121008ARTFIG00590-une-economie-droguee-a-la-rente-petroliere.php

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